Bienvenue à Utopia: une satire presque trop réaliste
Jack vient de rentrer dans son pays natal, l'Australie, après une décennie passée au paradis. Mais après avoir été accueilli à l'aéroport par son frère Frank, Jack découvre que le pays a radicalement changé. Les citoyens se signalent et s'infligent des amendes pour diverses infractions civiles, en utilisant leurs téléphones portables pour enregistrer et télécharger les infractions sur une application gouvernementale.
Jack est incrédule lorsqu'il arrive chez Frank et sa femme Margaret, et il n'arrive pas à croire que les jurons sont sanctionnés par des amendes et que l'alcool est interdit. Il y a des caméras partout, et le seul endroit sûr chez les gens est la salle de bain. Incapable de s'adapter ou d'accepter les changements, Jack tente de quitter le pays - un exploit bien plus difficile à accomplir qu'il ne le pensait.
Écrit et réalisé par Kosta Nikas, ce court-métrage de science-fiction porte peut-être le nom d'un paradis idéal d'équilibre et de paix, mais son titre est profondément satirique dans la mesure où le film dépeint l'absurdité du nouvel État de surveillance. Il construit un monde fascinant qui ne semble être qu'à quelques pas de notre société saturée de téléphones, racontant son histoire prudente d'une manière ironiquement enjouée.
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Source: Omeleto
Via SOTT
5 commentaires:
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Commentaires
Ce n'est plus pour après-demain mais pour tout à l'heure ...
RépondreSupprimerD'accord avec vous Flandre, snif ......
RépondreSupprimerExtrait d'un texte de Sonja Van den Ende via le Saker Francophone vu sur le site "Les moutons enragés".
RépondreSupprimer3Les preuves affluent pour illustrer la nouvelle société dystopique, sur la vague de la soi-disant pandémie. J’aurais tendance à la considérer comme un nouveau système dictatorial et technocrate, et sanitaire également, mis en place dans de nombreuses régions du monde. Les tests de ce nouveau système mondial, intégrant un composant de crédit social, ont été menés en Afrique pour mettre en place ce système de crédit social, sur la base d’une pandémie, avec la coopération du GAVI, de la Fondation Bill et Melinda Gates, et en coopération avec le Forum Économique Mondial. Non sans ironie, ils l’ont baptisé « passe pour le bien-être », attention Afrique, on va voir le niveau d’utopie que vous allez atteindre! Comme chacun le sait désormais (j’espère sincèrement que nombre d’entre nous se sont enfin éveillés), il ne s’est jamais agi d’un virus. Il s’agit d’une problématique de contrôle, de villes connectées, de véhicules électriques, où l’Afrique va de nouveau se trouver exploitée pour le Lithium, ainsi que l’Afghanistan ; c’est la raison pour laquelle l’occident a dû quitter ce pays, un conflit géopolitique est en cours, avec pour enjeu non pas l’Afghanistan comme territoire, et encore moins son peuple, mais son lithium. Build Back Better, ainsi que la dépopulation du monde, choses en lesquelles Bill Gates et son père sont des experts, sont autant de composantes de ce nouveau monde dystopique."
"et il n'arrive pas à croire que les jurons sont sanctionnés par des amendes et que l'alcool est interdit. Il y a des caméras partout"
RépondreSupprimerC'est pas comme si on nous prévenait depuis plusieurs années :
https://www.youtube.com/watch?v=dz4HEEiJuGo
Put.. de mer.., Encu... de covidistes .
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