mardi 26 octobre 2021

1 sur 5 : Nouveau film de Karl Zéro sur la pédocriminalité



MAJ: Une fois encore, les médias français sont aux abonnés absents (le contraire aurait été étonnant vu le sujet abordé). Seul Le Figaro parle indirectement de la sortie de ce film. C'est à nous de participer à sa diffusion au plus grand nombre.





Nous dédions ce film à toutes celles et ceux qui, enfants, ont été sexuellement abusés . 

Aux enfants qui le sont aujourd'hui. Ensemble, nous devons faire changer la peur de camp. Ensemble, nous allons définitivement éradiquer ce fléau de notre société. Nous tenons à remercier toutes celles et ceux qui nous aidé à produire ce film, grâce à leurs dons, sur Ulule et Tipeee. 

La bataille ne fait que commencer. Nous allons avoir besoin de vous toutes et tous. Car 1 sur 5, ça fait 13 500 000 personnes...Plus toutes celles et ceux à qui 1 SUR 5 va ouvrir les yeux. Ca fait du monde. 

Ca tombe bien, la présidentielle arrive. Nous allons maintenant nous charger d'aller expliquer la réalité de la situation aux candidats. Leur proposer 5 mesures d'urgences. Et nous vous diront tout. Qui reprend nos mesures dans son programme, qui s'engage à les faire voter dans les cent premiers jours, et qui... n'en n'a rien à faire. 

Parce que si le fléau pédocriminel n'est pas un enjeu de société, alors...qu'est ce qui en est un ? Si d'aventure (on ne sait jamais) le film disparaissait d'ici, il resterait visible sur https://www.1sur5.org et sur https://vimeo.com/637839464/c31993c0bdO 

Des news en plus sur https://twitter.com/karlitozero 

5 commentaires:

  1. En fait, même entre (supposés) amis « on » ne parle que de « ça » !

    « Ce n’est pas toujours drôle »
    La Rue de la Joie : une chanson de Damia sur le thème des Maisons Closes.

    On ne parle que de « ça » et ce « ça » c’est ce que nous devrions pour être un peu moins « on » mettre à la place de ces « ils » (pseudo-élites, gouvernements démocrates ET républicains), ces « ils » toujours au pluriel bien que conçus comme un « bloc » ennemi ou suspect de fraude, oui, mettre ce « ça » à la place de cet « ils » et du verbe favori qui l’accompagne « manipuler » « ILS (nous) manipulent » avec tous les verbes et verbiages tournant autour de ce thème et donc écrire, dire « ça manipule » et ainsi ne prêter ni bonnes ou mauvaises intentions pour un enfer ou un paradis de parade mais bien demeurer en bonne cybernétique.

    Tout cela est affaires du « on » c-à-d de la manière d’être la plus commune permettant d’éluder, de refouler l’émergence d’un Réel tout autre que nos réalités construites. On c-à-d un sujet d’ambiance dont les medias ont la tâche d’entretenir pour qu’il n’y ai jamais un Évènement mais sans cesse, des « demonstrations » de « nouvelles » urgences, que sans cesse on soit préoccupé, diverti. Ainsi lorsqu’on ne parle pas de ça on parle d’autre chose d’occupations qui remplissent une fonction d’évitement, de compensation comme sont toutes les activités dites de loisirs, du travail car désormais il y a toujours un spécialiste, un expert pour dire ce qu’il faut faire pour être « en forme ». Loisir donc sans Otium. L’acte gratuit est impossible. L’Art est impossible puisqu’il est aussi un commerce. L’art pour l’art était déjà, en tant que devise le signe d’une impossible gratuité, d’une générosité flouée, d’un don gaspillé. Tout « pour » indique une démission. Faire ceci pour quelqu’un ou quelque chose, ce n’est pas Agir c’est sans doute tout juste, voire à peine réagir.

    On ne parle que de ça et ça n’est pas un être, ni un désastre c’est une dépression naturelle dans le langage - comme outil, information. On ne parle que de ça. On ne peut faire autrement et ce n’est pas à dire « nous » que nous ferons plus que renforcer l’ensemble, d’agrandir le « on ». On bavarde et toutes les informations sont de l’ordre de ce « on ». Une surface glissante. Une surface agitée de mille maux et ce dont on parle - et on parle que de ça même lorsqu’on détourne ça vers autre chose - c’est désormais le co-vide et son indice numérique et les statistiques qui couvrent ce vide d’informations toujours nouvelles ou renouvelées et depuis nettement organisé par la défaillance du « principe » de « raison » (Satz vom Grund qui reste sans fondement) à savoir les « double-binds »

    Ecrire « co-vide » pour le « on » qui ne parle que d’un super virus mutant, c’est bien sûr choquant et pour s’assurer d’être « on » il a une étiquette toute prête, un extincteur de passion d’abord il accuse de « conspirationnisme » de « populisme » ou lorsqu’il prend la forme du « on » scientifique, il esquissera un sourire ou ricanera et déversera tout ce qu’il a entendu ou vu sur le « w.w.w » sans voir les contradictions d’un « chaos organisé » logiquement, puisque le chaos est une fiction de la logique.

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    1. Suite et fin...

      Mais dans cet ensemble toujours (plus) vaste du « on » demeure que de part en part, même là où semblerait possible un « je singulier » ne surviennent que des « individus » épris de leurs libertés en kits, la liberté conditionnée. Cela n’est guère étonnant tant que nous ne réalisons pas que « ça ne parle que de ça » c-à-d qu’il n’y a plus que la vie brute, du biologique. On passe le temps à ça qui passe en lui dans l’ennui, la dépressivité constitutive de qui comprend son incarnation sur cette terre comme étant pour rien - en cela ils ne diffèrent guère de ceux qui mettent une majuscule à Rien pour se donner un genre « oriental ». Il suffirait d’un rien, une brisure de la routine, de la logique … mais dans le rationnel affolement du Double-Bind il est évident que … ouvrir le Rien reste, et moins encore, qu’une utopie. Car des utopies ça ne manque pas. Ce « Ça » en est une. Ne pas entendre derrière la représentation virale, qu’il y a … l’Appel de la Terre c’est une utopie ! Et ce n’est pas hasard que les prétendus connaisseurs de la terre sont les premiers à y être sourd plus sourds que les théologiens qui ont édictés des « lois contre la Terre » (Cf le fameux Décret de Gratien, sa définition des « culturels » (ou païens). Voyez comment ce sont lesdits écologistes qui soutiennent le plus le combat consistant à répondre à des problèmes techniques par un discours technique sans entendre ce qu’est, en son essence-même la Technique - le dernier nom de l’Être dans l’orbe de la méta-physique !

      Il est vrai que les autres, les « réactionnaires », réformistes ne sont guère brillants et restent à patauger dans le « ça » et nous ne le sommes guère plus en continuant entre amis à ne parler que de ça, rien que de ça surtout lorsque « on » se veut détacher (voire nettement à s’en foutre bel et bien) ou que « on » s’évertue à vouloir être contre et ce au nom d’une idée, d’une idole (sens de Nietzsche dans le Crépuscule des Idoles) d’un dogme donc restant dans de l’idéologie.

      La vérité comme adéquation, rectitude si couteuse à l’Oxydant reste sans fondement, n’est pas un principe puisque formellement extérieur même lorsqu’on nous y parle d’intériorité.

      On est arrivé au point où ne parlant que de ça même et surtout lorsqu’on parle de « liberté » (en fait de s’être ou surtout de DEVOIR « se libérer de … ») on en est arrivé à fermer tout espace Libre, tout est devoir (contraint par des « droits » abstraits) : on doit tolérer - et donc plutôt que d’accepter les différences avoir revendiqué comme « identité » protégée par des « lois » une ou des différences sans différends . On doit - toujours ce dragon puritain, hygiéniste etc. - être résilient, faire repentance - et non point, au-delà du repentir pardonner. On doit accepter ou plutôt être obligé, soumis à une nouvelle forme d’intolérance tout en n’acceptant pas de ne pas être - cela est impossible - assuré (au sens des assurances habitation, auto etc.) contre l’Effroyable, l’Imprévisible. En un temps où le garant logique (Dieu) s’effrite etc.
      Rires et Grincements de dents.

      MAIS DU POINT
      DE LA DOULEUR IMPECCABLE *



      *La Demeure du Serpent (ou Cassandre) Poèmes (c) A.R.G 1989.

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  2. le vient de terminer le nouveau roman de Nicolas Beuglet qui résume tous les maux de notre temps

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  3. J'ai arrêté de lire quand j'ai vu l'écriture inclusive.

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