En France, ces vaccins sont vendus 105,12€ (rien que ça) et remboursés à 65% par la CPAM (merci pour le trou de la sécu). Le gouvernement recommande cette vaccination, qui a montré maintes fois sa dangerosité (voir liens connexes) pour toutes les jeunes filles de 11 à 14 ans et prétend qu'elle préviendrait les infections par les virus les plus fréquents, responsables de 70 à 90 % des cancers du col de l’utérus.
Si c'était le cas, cet article du chirurgien cancérologue Gérard Delépine n'aurait jamais vu le jour. Encore un gros mensonge de l'industrie du médicament qui fait son beurre sur la santé des gens. En plus d'augmenter les risques de cancer, ce vaccin a déjà brisé la vie de nombreuses adolescentes provoquant parfois de lourds handicaps et d'autres fois la mort. Ce vaccin finira par créer un scandale d'ampleur internationale. Mais quand?.. Fawkes
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Résumé de l’expérience des pays qui ont largement vacciné contre le HPV : confirmation de l’augmentation du taux de cancer du col chez les vaccinées
Gérard Delépine chirurgien cancérologue 2 octobre 2019
Lutte contre la désinformation mondiale
Devant la nouvelle offensive du gouvernement et de ses affidés pour imposer l’obligation chez filles et garçons du vaccin contre le virus humain papilloma, en présentant les données de façon fallacieuse, il nous a paru opportun de faire un nouveau point sur les résultats publiés dans les registres officiels des cancers dans les pays qui ont largement vacciné leur population.
Infection n’est pas cancer
En effet les fake news publiées dans les grands médias confondent volontairement ou non (entre ignorance et corruption ?) l’efficacité du Gardasil sur les infections (sans gravité et de disparition spontanée dans la grande majorité des cas ) et prévention du cancer du col utérin postulant que le cancer est toujours dû au virus, ce qui est faux. Nous nous en sommes expliqués antérieurement à plusieurs reprises.
Evaluation honnête et scientifique de l’effet du Gardasil sur les populations vaccinées
L’efficacité d’un politique nationale de prévention d’un cancer doit être jugée non pas sur les petits échantillons d’essais thérapeutiques mais, en vie réelle, sur l’évolution de l’incidence de ce cancer dans l’ensemble de la population concernée, telle qu’elle apparaît dans les registres officiels des cancers.
Les registres des cancers officiels et disponibles
A ce jour seulement quatre pays qui pratiquaient le dépistage cytologique et disposaient de registres nationaux du cancer ont obtenu une couverture vaccinale supérieure à 80% dans la population ciblée avec un recul suffisant : l’Australie, la Grande Bretagne, la Suède et la Norvège.
En Australie
la campagne vaccinale a débuté en 2007 chez les adolescentes, avec un taux de couverture proche actuellement de 80%. Depuis cette date l'incidence standardisée monde des cancers invasifs dans la population globale ne baisse plus (7,2 en 2019 contre 6,8/100000 en 2006), démentant la propagande permanentes des médias qui claironnent l’éradication future des cancers du col dans ce pays en diffusant des prédictions statistiques reposant sur des hypothèses fausses.
De plus, il est paradoxal de constater que l'incidence des cancers invasifs du col augmente dans les classes d'âge de femmes vaccinées. Ainsi, dans la tranche d'âge des femmes de 20-24 ans (vaccinées à 80% entre 14 et 18 ans), l'incidence est passée de 0,7 en 2007 à 1,5 cas/100.000 en 2014. Chez les femmes âgées de 25 à 29 ans (vaccinées en rattrapage lorsqu’elles avaient entre 19 et 23 ans) ces chiffres ont augmenté également, de 5,9 en 2007 à 8,2/100.000 en 2014. De même pour les 30-34 ans (qui ont subi des vaccinations de rattrapage jusqu’à l’age de 26 ans en 2007) dont l’incidence a augmenté de Plus de 30% (de 9,9 en 2007 à 13,2 en 2014) augmentation statistiquement significative.
A l’opposé, les femmes plus âgées (et donc non vaccinées) ont vu leur risque de cancer diminuer -17% pour les femmes de 55 à 59 ans (de 9.7 à 8.1), -13% pour celles de 60 à 64ans (de 10.3 à 8.9), -23% pour celles de75 à 79 ans (de11.5 à 8.8) et même moins 31% pour celles de 80 à 84 ans (de 14.5 à 10).
En Grande Bretagne
la campagne de vaccination a débuté en 2008, en obtenant une couverture de plus de 85% d'adolescentes. Depuis sur l’ensemble de la population exposée au cancer du col (femmes de plus de 20 ans) l’incidence standardisée a augmenté, passant de 12.6 en 2007 à 14.1 en 2016
A partir de 2011 les statistiques nationales ont montré une augmentation brutale et importante du taux de cancer du col utérin chez les femmes de 20 à 24 ans (vaccinées pour plus de 85% d’entre elles, alors qu’elles avaient entre 14 et 18 ans) qui ont vu leur risque de cancer (incidence lissée sur 3 ans) augmenter de 70% en 2 ans de 2,7 à 4,6 en 2013-2015)
Celles de 25 à 29 ans qui avaient entre 17 à 23 ans au moment de la campagne de vaccination ont vu leur risque de cancer doubler entre 2007 et 2015 (de 11 à 22) Or c'est dans ce créneau d'âge que l'on retrouve toutes les femmes ayant pu recevoir une vaccination tardive (vaccination dite de "rattrapage" après 16 ans). A l’opposé, l'incidence du cancer a globalement diminué chez les femmes les plus âgées, non vaccinées (moins 20% dans le groupe des 35-49 ans).
En Suède
le vaccin Gardasil a été introduit en 2006 et le programme de vaccination des préadolescentes mis en route en 2010 pour atteindre une couverture approchant les 80% avec un "rattrapage" des plus âgées (jusqu’à 18 ans). Depuis l’incidence (standardisée Monde) du cancer du col de l'utérus, qui s’était stabilisé jusqu’en 2011, a augmenté de 23% passant de 6,69 en 2011 à 8,6 en 2016.
Cette augmentation globale est principalement due aux femmes de 20 à 24 ans en 2016, (vaccinées pour plus de 80% d’entre elles) qui ont vu leur incidence lissée sur 3 ans plus que doubler, passant de 1.49 en 2007-2009 à 3.73 en 2014-2016 ainsi que le montrent les données et graphiques publiés par Nordcan (registre des cancers scandinaves) ; cette augmentation est statistiquement significative.
Dans ce pays, comme en Australie et en Grande Bretagne, aucune augmentation n’est notée dans la population âgée de plus de 50 ans, non concernée par la vaccination HPV.
La Norvège
a suivi une politique similaire de vaccination. Depuis le registre du cancer Nordcan montre une augmentation de l’incidence standardisée monde du cancer invasif du col de l’utérus de 25% sur l’ensemble de la population (de 8.99 en 2007 à 11.31 en 2015).
Dans le groupe d’âge le plus vacciné (les 15-24 ans en 2016 qui avait entre 9 et 18 ans en 2010) une augmentation importante d’incidence lissée sur trois ans est apparue à partir de 2013 de 0.84 en 2010-2012 à 2.46 en 2014-2016 ainsi que le montre ce graphiques et ces données NORDCAN
Et la recherche des inversions de tendance (break point analysis) montre que c’est trois ans après le début de la campagne de vaccination que cette augmentation significative est apparue
Cette progression inattendue, précoce et significative du nombre de cancers du col dans tous les pays où la population jeune est largement vaccinée interroge à juste titre d’autant qu’en France, peu vaccinée, l’incidence du cancer du col a largement baissé durant la même période rendant cette maladie rare d’après les critères de l’OMS (incidence inférieure à 6/100000).
Source : Santé France- Inca
Etude initiale du laboratoire permettait d’anticiper ces résultats
L'étude pivot de Merck concernant l'évaluation initiale du Gardasil et destinée à la FDA avait inclus des personnes (dénommées "non naïves") qui avaient été contaminées préalablement par des souches virales oncogènes (en particulier 16 et 18). Les résultats de ce sous-groupe avaient retrouvé une augmentation (de 26%) de l'apparition de lésions dysplasiques du col par rapport au groupe non vacciné. Le fait de vacciner des femmes ayant déjà commencé leur vie sexuelle pourrait probablement augmenter le nombre de lésions précancéreuses sévères.
AUGMENTATION DU TAUX DE CANCER DU COL CHEZ LES VACCINEES/ CONSEQUENCES
Quelles que soient les raisons de cette augmentation paradoxale mais indiscutable (données officielles des registres nationaux des cancers) des risques de cancer dans tous les pays dans les groupes d’âge qui ont été largement vaccinés justifie :
1°) une information loyale de la population en ne prétendant plus que ce vaccin prévient le cancer et en informant des effets secondaires parfois graves (cf ANSM et OMS).
2°) Le principe de précaution impose de ne plus vacciner les femmes ayant déjà commencé leur vie sexuelle
3°) le même principe de précaution doit faire récuser toute obligation vaccinale anti HPV d’autant que la charge pour les finances publiques serait très importante (200 à 400 millions d’euros chaque année en France). Les ventes mondiales actuelles sont de cinq milliards €/an, somme colossale.
4°) Des études subventionnées par l’état, indépendantes des firmes pharmaceutiques sont indispensables et urgentes pour établir si ce vaccin est réellement susceptible de prévenir le cancer chez les jeunes filles n’ayant pas eu de rapport sexuel ou s’il l’augmente comme chez les plus âgées, afin d’adopter les recommandations actuelles aux faits avérés.
Le refus des agences, autorités sanitaires et politiques, dûment alertées, engendrerait leur responsabilité personnelle et celles des experts en particulier ceux liés aux firmes comme le montre le procès actuel du médiator.
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Qui ne connaissait pas la belle Sarah Tait ?
RépondreSupprimerNée et élevée à Perth (Australie), Sarah Tait, qui était le capitaine de l’équipe d’aviron d’Australie aux Jeux Olympiques de Pékin a été diagnostiquée du cancer du col de l’utérus en mars 2013. La rameuse Australienne est décédée après y avoir combattu. Elle n’avait que 33 ans. Pourtant dit-elle « J’ai eu le vaccin contre le cancer du col utérin lorsque j’étais plus jeune. J’ai eu des frottis régulièrement toute ma vie, et le plus récent en décembre, ne présentait aucun problème. » En fait, les femmes qui reçoivent le vaccin contre le papillomavirus humain sont plus susceptibles d’être infectées par certaines souches à haut risque du virus que les femmes qui ne reçoivent pas le vaccin, selon une nouvelle étude.
http://www.healthnutnews.com/olympic-medalist-dies-of-cervical-cancer-despite-being-vaccinated-for-hpv-years-before/
Dans tous les pays qui ont pratiqué le dépistage par frottis, la période pré vaccinale de 1989 à 2007 a été marquée par une diminution très significative du taux standardisé d’incidence du cancer du col de l’utérus, avec un taux moyen de décroissance de 2.5 % entre 1989 et 2000 et un ralentissement de cette baisse à 1% (mais toujours significative) entre 2000 et 2007. Par contre, dans les pays qui ont mis en œuvre un programme de vaccination, un retournement de tendance avec augmentation significative de la fréquence des cancers invasifs dans les groupes les plus vaccinés est observé.
https://fr.sott.net/image/s24/483932/full/GB_11afb.jpg
Au Danemark même chose :
Supprimerhttps://fr.sott.net/article/25863-Bilan-vaccinal-accablant-pour-le-Gardasil-au-Danemark
Le Gardasil est la dernière invention, pompe à fric et possiblement tueuse.
RépondreSupprimerLa communication est toujours la même : faire peur aux parents. Au vu des statistiques, ça marche.
Comment accorder sa confiance à une ministre de la santé menaçante : 11 vaccins obligatoires pour le nourrisson, étant donné son pedigree :
http://www.libreactu.fr/agnes-buzyn-a-ete-remuneree-par-les-labos-pendant-au-moins-14-ans/
Comme si cela ne suffisait pas, son époux, Yves Levy est directeur de l'INSERM.
Tout est verrouillé !
Je lis dans l'article : "4°) Des études subventionnées par l’état, indépendantes des firmes pharmaceutiques sont indispensables et urgentes pour établir"
Les subventions étatiques ne rendent pas indépendant. Elles subordonnent.
Seul un labo indépendant financièrement et intellectuellement peut rendre ce service.
https://www.youtube.com/watch?v=mBL9pS6GMdA
RépondreSupprimerVoici la solution contre les cancers.
C'est un remake de ce qui avait été fait dans une clinique chinoise, je me souviens de cette vidéo ou l'on voyait la tumeur fondre littéralement en direct grâce aux rayons x, elle fondait grâce aux ultrasons.
https://www.youtube.com/watch?v=JdokQBrB6EI
Des Chercheurs ont découvert de l'ADN anormal Humain dans les Vaccins avec 560 gènes modifiés potentiellement Cancérigènes !
RépondreSupprimerLes vaccins sont systématiquement formulés avec des cellules fœtales humaines avortées appelées MRC-5 et WI-38.
Le CDC énumère ouvertement certains des vaccins qui utilisent ces cellules "diploïdes humaines", dont Twinrix (hépatite A / hépatite B), ProQuad (MMRV) et Varivax (varicelle / varicelle).
Les encarts vaccinaux publiés par la FDA, comme celui-ci pour Varivax, admettent aussi ouvertement l'utilisation de lignées de cellules fœtales humaines avortées comme MRC-5 :
Le produit contient également des composants résiduels des cellules MRC-5, y compris de l'ADN et des protéines et des traces de néomycine et de sérum de veau bovin provenant de milieux de culture MRC-5.
Même ce feuillet d'encart de GlaxoSmithKline traite ouvertement de l'utilisation de cellules fœtales humaines avortées dans son vaccin Priorix-Tetra (MMRV) :
Chaque souche virale est produite séparément dans des cellules embryonnaires de poussins (oreillons et rougeole) ou dans des cellules diploïdes humaines MRC5 (rubéole et varicelle).
Pourtant, chose étonnante, presque aucun membre du public n'est au courant que les cellules fœtales humaines avortées sont couramment utilisées dans les vaccins. Les faux médias menteurs insistent sur le fait qu'un tel discours est une "théorie de conspiration", même si les CDC, la FDA et les fabricants de vaccins déclarent ouvertement que l'ingrédient est utilisé dans de nombreux vaccins.
Aujourd'hui, un laboratoire en Italie a effectué un séquençage complet du génome de cette lignée cellulaire MRC-5 qui est délibérément insérée dans plusieurs vaccins. Ce qu'ils ont trouvé au delà de choquant... c'est horrible.
Comme expliqué par Children's Health Defense :
L'équipe de Corvelva a résumé ses conclusions comme suit :
1 - La lignée cellulaire fœtale appartient à un fœtus mâle.
2 - La lignée cellulaire se présente de telle sorte qu'elle risque d'être très ancienne, donc cohérente avec la lignée déclarée des années 1960.
3 - L'ADN fœtal humain représenté dans ce vaccin est un génome individuel complet, c'est-à-dire que l'ADN génomique de tous les chromosomes d'un individu est présent dans le vaccin.
4 - L'ADN génomique humain contenu dans ce vaccin est clairement, sans aucun doute anormal, présentant des incohérences importantes avec un génome humain typique, c'est-à-dire avec celui d'un individu sain.
5 - 560 gènes connus pour être associés à des formes de cancer ont été testés et tous ont subi des modifications majeures.
6 - Il existe des variations dont les conséquences ne sont même pas connues, ne figurent pas encore dans la littérature, mais qui affectent encore les gènes impliqués dans l'induction du cancer humain.
7 - Ce qui est aussi clairement anormal, c'est l'excès de génome montrant des changements dans le nombre de copies et les variantes structurelles.
(suite)
Supprimer560 gènes du cancer, ADN anormal, "modification" génétique de gènes potentiellement dangereux, mais dont l'injection est obligatoire dans chaque enfant !
Ce qui ressort clairement de ce séquençage génétique, c'est que l'industrie du vaccin inocule aux enfants un cancer artificiel.
Comme l'explique CHD, les vaccins sont délibérément formulés avec des gènes cancérigènes qui ont été spécifiquement modifiés pour favoriser les tumeurs cancéreuses :
Parmi les vaccins administrés depuis des décennies, il y a la présence d'un ADN progressivement plus génétiquement modifié et des quantités incontrôlées ont été autorisées....
L'ADN contenu dans ces vaccins est potentiellement Tumorigène et les lignes directrices auxquelles les organismes de surveillance font appel ne sont pas adéquates.
De plus, nous dénonçons publiquement une sérieuse omission en ne préconisant pas les mesures de précaution qui sont requises de toute urgence pour les médicaments douteux.
Non seulement ce code génétique cancérigène est inséré dans tous ces vaccins administrés aux enfants, mais la dose d'ADN infecté par le cancer est dangereusement élevée. Comme l'explique CHD :
... L'ADN fœtal contaminant présent dans tous les échantillons analysés en quantités variables (donc non contrôlées) est jusqu'à 300 fois plus élevé que la limite imposée par l'EMA pour l'ADN cancérogène (10 ng/dose, correspondant à l'ADN contenu dans environ 1000 cellules tumorales, dérivé d'un calcul statistique, la limite préventive étant 10 pg/dose), limite qui doit également être appliquée pour l'ADN foetal MRC-5, laquelle contaminera inévitablement Priorix tetra.
"Modifications" des gènes associés aux tumeurs cancéreuses :
Le séquençage du génome a également révélé que des centaines de gènes liés aux tumeurs cancéreuses ont été modifiés.
Comme l'expliquent les auteurs de l'étude :
... Des modifications importantes de gènes dont on sait qu'ils sont associés à diverses formes de tumeurs ont été identifiées, pour l'ensemble des 560 gènes vérifiés ; en outre, il existe des variantes dont les conséquences ne sont pas connues, mais qui, cependant, affectent les gènes impliqués dans l'induction du cancer humain.
Cela indique que les cellules fœtales humaines avortées de la MRC-5 semblent avoir été délibérément modifiées pour les rendre plus tumorigènes... c'est-à-dire plus susceptibles de causer des tumeurs cancéreuses chez les humains ayant reçu les injections du vaccin.
Cela assurerait, bien sûr, des revenus à long terme provenant des médicaments anticancéreux qui sont également fabriqués et vendus par les mêmes géants pharmaceutiques qui fabriquent et commercialisent les vaccins.
Après tout, la fidélisation des clients est un modèle d'affaires très lucratif, et si vous pouvez faire la dentelle des vaccins avec les plans génétiques pour le cancer à long terme, vous pouvez vous assurer qu'un pourcentage très élevé des enfants d'aujourd'hui reçoivent un diagnostic de cancer, après quoi ils deviennent des clients lucratifs pour les médicaments contre le cancer des grandes sociétés pharmaceutiques.
Le séquençage du génome des cellules MRC-5 "diploïdes humaines" utilisées dans les vaccins est même décrit par les chercheurs comme "anormal" par rapport à un être humain sain.
D'après les conclusions de l'étude :
L'ADN génomique humain contenu dans le vaccin en lot Priorix. n.A71CB256A est manifestement anormal et présente d'importantes incohérences par rapport à un génome humain typique, c'est-à-dire celui d'un être humain sain.
Il existe plusieurs variantes inconnues (non notées dans les bases de données publiques) et certaines d'entre elles se trouvent dans des gènes impliqués dans le cancer.
(suite)
SupprimerCe qui est aussi apparemment anormal, c'est l'excès de génome qui montre des changements dans le nombre de copies (CNV) et des variantes structurelles (SV), comme les translocations, les insertions, les délétions, les duplications et les inversions, dont beaucoup impliquent des gènes.
Cette conclusion semble confirmer que les lignées cellulaires MRC-5 utilisées dans les vaccins ont été génétiquement modifiées pour les rendre plus susceptibles de causer le cancer chez les personnes vaccinées (Ndlr : Il existe des substances "mutagènes" utilisées dans les laboratoire de recherche afin de créer des mutations artificielles dans le génome !).
Par la suite, les mandats de vaccins obligent les enfants à se faire injecter des gènes du cancer afin qu'ils deviennent les futurs clients des "solutions" de traitement du cancer à but lucratif des grandes sociétés pharmaceutiques, qui sont incroyablement toxiques pour la santé humaine.
En d'autres termes, on injecte aux enfants humains l'ADN génétiquement modifié d'un autre enfant humain avorté afin de provoquer un cancer à l'échelle internationale, le tout au profit de l'industrie pharmaceutique qui pousse à la censure totale de toute critique sur les vaccins ou leurs ingrédients.
Vaccins "défectueux" qui sont "potentiellement dangereux pour la santé humaine".
Le résultat est que ces vaccins qui sont délibérément contaminés par des gènes humains anormaux et infestés de cancer sont "défectueux", selon une analyse de CHD :
En conséquence, ce vaccin devrait être considéré comme défectueux et potentiellement dangereux pour la santé humaine, en particulier pour la population pédiatrique qui est beaucoup plus vulnérable aux dommages génétiques et auto-immuns.
Voici un résumé de ces résultats, dans une courte vidéo qui sera développée la semaine prochaine en une conférence complète.
https://www.brighteon.com/034ebfcb-5bf8-4bcf-abf2-ee106a2eecba
Source : Natural News par Mike Adams
J'ai publié un article complet à ce sujet au mois de juin:
Supprimerhttps://www.fawkes-news.com/2019/06/des-centaines-de-produits-chimiques.html
https://www.youtube.com/watch?v=LxyZHuza4bA
SupprimerMille excuses guy, supprime mes commentaires.
SupprimerEn complément, les effets des vaccins, Docteur Robert Kennedy.
RépondreSupprimerExtrait :
"Si vous êtes né avant 1989, vos chances de contracter une maladie chronique, selon HHS (Santé et services sociaux), est de 12,8%. Si vous êtes né après 1989, vos chances d’avoir une maladie chronique sont de 54%. Et la FDA a dit aux fabricants de vaccins : « vous deviez examiner ces maladies ».
Et quelles sont ces maladies ?
Ce sont les maladies neuro-développementales, le TDA, le TDAH, [Trouble de Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité ] les retards de langage, les retards de parole, les tics, le syndrome de Tourette, les TSA [Troubles du Spectre de l’Autisme] et l’autisme. Les troubles auto-immuns, Guillan-Barré, la sclérose en plaques, le diabète juvénile et la polyarthrite rhumatoïde. Les maladies anaphylactiques, les allergies alimentaires, la rhinite, l’asthme et l’eczéma. Tous ces troubles ont explosé dès 1989."
https://lesakerfrancophone.fr/vaccination-une-video-du-docteur-robert-f-kennedy
Cela rejoint le docteur en médecine Moulden. Il avait un PhD en Psychologie Clinique et Neurophysiologie et possédait un master dans le développement de l’enfant. Mais voilà, il représentait une menace pour l’industrie pharmaceutique, car en 2007, il arrêta de pratiquer afin d’avertir les gens sur les dommages occasionnés par les vaccins. Ainsi démontra-t-il que de nombreux cas du Syndrome du Bébé Secoué étaient à mettre en relation avec les vaccins. Selon un collègue, le Dr Moulden avait déclaré en octobre 2013 qu’il était sur le point de briser le silence et allait diffuser une nouvelle information qui représenterait un défi majeur pour l’industrie du vaccin de Big pharma. Mais il décéda de façon inattendue en novembre 2013 à l’âge de 49 ans !
SupprimerLes menaces de mort à l’encontre des critiques sur les vaccins ne sont pas inhabituelles. Le Dr Garth Nicolson par exemple pourrait en témoigner. Il faisait partie d’une équipe mise au courant que des tests biologiques (agents de guerre chimique) avaient été effectués sur des prisonniers au Texas. Ces agents biologiques furent par la suite découverts dans des vaccins administrés à du personnel américain pendant les guerres du Golfe Persique. Des milliers de cas du Syndrome de la Guerre du Golfe et des décès liés aux vaccins s’en étaient suivis. Le professeur Emérite Garth L. Nicolson, chercheur et professeur de pathologie moléculaire à l’Institut de Médecine à Huntington (Californie) expliqua qu’il avait été obligé de quitter le Texas car la situation devenait trop dangereuse. « Plusieurs de mes collègues sont morts. Mon directeur a reçu une balle dans la tête alors qu’il était à son bureau parce qu’il s’apprêtait à dévoiler les expérimentations et tests qui s’étaient déroulés dans la prison. »
Il est intéressant de comparer des photos d'enfants avant et après vaccins. On peut mieux en examiner les expressions et les mouvements anormaux du visage et des yeux (comme un oeil qui vire à droite plus vite que l'autre ou qui n'est pas centré par rapport à l'autre).
https://vaccineimpact.com/wp-content/uploads/sites/5/2014/12/Moulden-lecture3.jpg
Nous sommes attaqués de toutes parts.
RépondreSupprimerLa nourriture, l'eau et l'air que nous respirons nous empoisonnent.
Notre environnement est complètement pollué et nous sommes de plus en plus irradiés par les ondes électro-magnétiques.
La médecine et les labos pharmaceutiques nous rendent malades.
L'école détruit l’intelligence et la connaissance.
La théorie du genre empoisonne l'esprit de nos enfants et détruit la famille.
Les enfants sont violés ou sacrifiés.
Les fœtus sont avortés, les organes sont volés.
la vie est dégradée et l'adn trafiqué.
les bébés sont vendus et achetés.
La finance, l'économie et le travail nous rendent de plus en plus esclaves.
La surveillance généralisée nous prive de notre liberté.
l'insécurité au sein de la société ne cesse de s'aggraver.
Le troupeau sous contrôle mental est en chemin pour l'abattoir et personne ne réagit...