mardi 25 septembre 2018

Petit Paul : pédophilie, inceste et viol dans une BD sortie cette semaine




Comment peut-on tolérer qu'une BD, fusse-t-elle pour adulte (ce n'est pas une excuse) sorte en France alors que la couverture annonce d'emblée de la pornographie infantile? L'avocate maître Grimaud ne s'y trompait pas lorsqu'elle a affirmé il y a quelques mois que la France est l'eldorado des pédophiles. Rappelons qu'en 2016 était sorti au cinéma le film Sausage Party qui mettait en scène orgies, viols et sodomies dans un dessin animé accessible dès 12 ans. Ce film vomitif qui avait coûté 19 millions de dollars en a rapporté...152 millions à ses producteurs. Fawkes

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Présenté dans sa préface comme une parodie des aventures de Martine, Petit Paul de Bastien Vivès fait l’objet d’une vive polémique. Ce serait pourtant « un pied de nez à l’ordre moral, la sexualité bien-pensante qui rassure... qui emmerde », relève la préfacière, Céline Tran. Oui, mais on parle aussi de pédopornographie...




Petit Paul vit à la campagne, d’accord : il va à l’école primaire (il a possiblement une dizaine d’années) et la nature l’a doté d’un pénis monstre, dont le sperme coule à flots. Étonnante nature. Le titre inaugure la collection Porn' Pop que les éditions Glénat viennent de lancer pour cette rentrée.Sa directrice, Céline Tran, fut connue sous le nom de Katsuni alors qu’elle était actrice de films X. 

Un mineur trop bien membré
 

Sauf que Petit Paul, comme son personnage le laisse entendre, est un mineur et ainsi que le souligne la couverture du titre, c’est un mineur dans un ouvrage à caractère pornographique. Et c’est là que le bât commence à blesser sérieusement.

Une pétition a été déclenchée, considérant que l’ouvrage verse dans la pédopornographie : le gamin se retrouve en effet, à de nombreuses reprises, à avoir des rapports sexuels avec des femmes, largement adultes, elles. 

Par le menu : son institutrice qui lui inflige un cunnilingus – en lui demandant de réciter sa poésie. Et ce, après que Paul gagné par le trac a abondamment répandu du sperme partout dans les toilettes. Il avait quitté la classe avec l’enseignante parce qu’il s’était fait pipi dessus, angoissé à l’idée de sa récitation.

« Seul le sketch avec la maîtresse est un peu borderline, car elle est plus volontaire que les autres protagonistes de l’album. Mais il n’y a pas de sa part de pulsion sexuelle selon moi », indique d’ailleurs l’auteur dans un entretien au Huff Post.

 
Séquence suivante : de nouveau, Paul (qui a un don pour se mettre dans des situations pas possibles) se retrouve caché derrière un rideau, de nouveau en plein coït. Deux femmes manifestement musulmanes entrent pour se changer, et pas de chance : le pantalon de Paul craque sous la pression de son érection. Pour cacher Paul, une seule solution : la pénétration. Et une fois encore, sans, vraiment, lui demander son avis...

La scène s’achève sur une éjaculation faciale au visage du père de cette jeune femme pleine de bonne volonté.

Nouveau jeu : au judo, c’est un 69 avec sa prof qui s’engage. Difficile de dire si Paul y prend plaisir, mais, là encore, cela s’achèvera pas une éjac'. Il y aura une séquence de sodomie alors que le petit est sur la cuvette des toilettes. Qu’on se rassure : la femme qui en profite a été longuement préparée (fist et foot fucking inside).

Passons rapidement sur la case où l’on assiste à une scène de zoophilie – Monsieur Jacques, paysan, est en train de faire son affaire avec une vache... Dans la ferme se déclenche une sorte de gang bang de haut niveau : pour préserver l’enfant, Magalie, sa soeur, se retrouve à le porter sur son dos, après que, par mégarde, Paul l’a pénétrée.

« Attends, c’est peut-être la seule solution », explique-t-elle, alors que le pénis de Paul est toujours en elle. Cette même Magalie encouragera Paul (cette fois dans une levrette plus conventionnelle) à taper fort, pour échapper à une créature maléfique. C’est la dernière saynète de la BD qui se clôt ainsi...

Représentation de rapports sexuels avec un mineur : ça coince...


Résumons : graphiquement, pas grand-chose à dire. C’est du très bon Bastien Vivès, dont le trait est mis au service de séquences pornographiques velues velues. Sur le fond, et c’est bien ce que la pétition souligne, ces instants de sexualité débridée s’opèrent bel et bien avec un enfant. 

Donc de la pédophilie – cette dernière consistant à une pornographie où des enfants sont mis en scène. Et dans le cas de Paul, nous sommes bel et bien face à un personnage en dessous de l’âge de la majorité sexuelle – donc d’une atteinte sexuelle sur mineur. Soit 7 ans de prison et 100.000 € d’amende – et quand bien même le mineur serait consentant. (article 227-25 du Code pénal de 1994, modifié par la loi du 17 juin 19982 et celle du 3 août 20183)

Quand à l’article 227-23, il est radical : « Le fait, en vue de sa diffusion, de fixer, d'enregistrer ou de transmettre l'image ou la représentation d'un mineur lorsque cette image ou cette représentation présente un caractère pornographique est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende. »
 
Dans le cas de Paul, qui ne manifeste pas de résistance ni n’exprime de consentement explicite, on pourrait basculer dans l’agression sexuelle... voire le viol puisqu’il y a pénétration. Le cas de la maîtresse, en début de BD, relèverait même de circonstances aggravantes, puisque la personne abuse de l’autorité que lui confère son poste pour obtenir son cuni – 10 ans de prison et 150.000 € d’amende.

La loi Schiappa sur les violences sexuelles est encore fraîche de ses vifs débats dans les chambres parlementaires – notamment concernant l’article 2 qui était accusé de minorer les peines en cas de viol. Et c’est bien d’un crime dont on parle...
 

Ne pas se voiler la face toutefois
 

« Nous rappelons que le livre est censé être humoristique, et il nous paraît délicat de rire d’une scène faisant l’apologie de l’abus d’enfant, un sujet malheureusement bien trop actuel », indique la pétition qui demande le retrait du marché de la BD. 

Alors, peut-on rire de tout, avec tout le monde, et commercialiser un ouvrage qui présente tous les aspects d’un titre centré sur la pédopornographie ? Excellentes questions : la réponse juridique est non.
 
Pas question non plus de feindre l’ignorance : internet regorge, si l’on veut en trouver, de comics mettant en scène des incestes et de la pédophilie à foison. Le magazine spécialisé (et pour adultes) Le tag parfait, faisait déjà état en novembre 2015 de la recrudescence d’une « vague incestueuse » dans la BD pour adultes. 

« Je pense que l’inceste attire les gens parce que c’est la chose la plus défendue qui vient à l’esprit dans le domaine du sexe. Et tout ce qui est défendu semble plus attirant » indiquait alors le dessinateur Romulo « Melkor » Mancin, qui a bossé pour Milftoon, éditeur dédié à cette littérature.

Pour autant, les scénarii des BD n’étaient pas de lui, et les histoires impliquaient des affaires de belle-mère. Mais le fait qu'existe une demande et qu'une offre y réponde n'autorise pas non plus à passer outre la loi, et la protection des mineurs.
 
Les éditions Glénat ont diffusé un communiqué, répondant à ces différentes questions.




« Suite aux récentes et vives attaques à l’encontre de l’ouvrage Petit Paul de Bastien Vives, nous avons tenu à réagir. Premièrement, il est important de souligner que Petit Paul est un ouvrage exclusivement destiné aux adultes (l’album est vendu scellé, sous blister, avec un sticker avertissant distinctement de la teneur de son contenu pour public avertis) et que sa mise à disposition est, par conséquent, interdite aux mineurs.
Par ailleurs, nous réfutons fermement et catégoriquement les accusations de pédopornographie dont Petit Paul fait l’objet. Aussi obscène et provocatrice qu’on puisse la considérer, cette œuvre de fiction n’a jamais pour vocation de dédramatiser, favoriser ou légitimer l’abus de mineurs de quelque manière que ce soit. Il s’agit d’une caricature dont le dessin, volontairement grotesque et outrancier dans ses proportions, ne laisse planer aucun doute quant à la nature totalement irréaliste du personnage et de son environnement. L’aspect de Petit Paul ne peut en aucun cas être tenu pour la représentation fidèle d’un mineur ; ni les situations extrêmes et absurdes qu’il vit pour des situations réalistes. 
Si notre maison laisse libre cours à la liberté de ton, l’audace et la créativité, elle est également particulièrement attentive à ce qu’elle publie et assume l’ensemble de ses choix éditoriaux. Jamais elle n’aurait autorisé la publication d’une œuvre allant à l’encontre de la loi, ou présentant la moindre ambiguïté sur un sujet aussi grave. 
Merci de votre vigilance. Les éditions Glénat. »

Dont acte...
 
L’association internationale des victimes de l’inceste ne semble pas avoir digéré le communiqué de l’éditeur, et a manifestement décidé de porter plainte.




Nous avons pris attache avec l'association et sommes en attente de précisions, ainsi que de la part des éditions Glénat.
 
Première réaction, rapidement après le déclenchement de la polémique, la décision de Cultura de déréférencer l’ouvrage, et de le retirer de la vente dans ses boutiques.




Peu après, c'est le groupe Gibert qui a fait part de la même décision



Source: Actualitté

24 commentaires:

  1. Allez faire un petit tour sur différents sites pronographiques, vous allez tout de suite vous rendre compte de l'ampleur de cette propagande pro incestueuse et qui mènera à n'en pas douter à celle de la pédophilie, étape par étape.

    Comme beaucoup de gens j'ai déjà visité des sites pornos, mais ça faisait un bon moment, et c'est là que ça m'a sauté aux yeux, dans les titres de nombreuses vidéos, on trouve désormais le mot inceste ou des soit disant jeu d'acteur prétendument entre une mère et son fils ou une soeur et son frère, jetez un oeil vous verrez.

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    1. il est probable que certaines boites de productions pornographiques soient de mèche avec les propagandistes satanistes... Ces derniers sont souvent franc-maçons et oeuvrent par l'intermédiaire de leur réseau, c'est-à-dire les productions culturelles comme cette BD ou autrement en modifiant les programmes de l'éducation nationale par exemple. Ici Katsuni (cette **** qui a tellement **** que sa bouche en est déformée), Bastien Vivès, les éditions Glénat et leur "collection Porn' pop" nous sortent un projet dont l'objet premier est de sexualiser l'enfant. A partir de ce moment-là, on peut en effet se demander si ces personnes ne font pas partie d'un culte sataniste, et qu'ils travaillent à faire l'apologie de la pédopornographie.

      Sur internet, les boites de prod pornos répondent à l'exigence de l'audience, plus il y a de cliques plus ils gagnent d'argent, or les vidéos de scènes incestueuses (mère fils, frère soeur....) joués par des acteurs font sans doute beaucoup plus de clics car ils nourrissent les fantasmes les plus interdits des visionneurs. Ces derniers sachant très bien que les scènes sont "jouées" (sauf les enfants tombant sur ces vidéos par exemple...).
      Néanmoins, étant donné la présence en très grand nombre de ces vidéos, on peut parler de propagande pro-incestueuse, dont la suite logique est la pédophilie.

      Ce n'est d'ailleurs pas pour rien si internet regorge de vidéos pédopornographiques, notamment sur le deep web (mais aussi sur le surfacique...), et qu'un marché noir d'échanges de vidéos pédopornographiques existe sur le deep web. Ces détraqués sont présents en grand nombre sur ce réseau et demeurent pour la plupart intouchables, car les seuls moyens mis en oeuvre pour lutter contre eux sont des brigades de gendarmes sur internet, qui visitent les réseaux souterrains pour y trouver de la pédopornographie (je vous laisse imaginer les superbes journées qu'ils doivent passer), identifier les possesseurs de ces vidéos et les traquer tant qu'ils peuvent, car sur le deep web il est assez facile de bien se cacher.

      Je ne vous invite pas à essayer de chercher. Et si vous tombez sur des vidéos pédopornographiques, au lieu de prendre peur d'éteindre votre ordi et de le balancer à la poubelle, sauvegardez le lien et allez directement et contacter les autorités.

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  2. pédophile ? pédocriminel serait plus juste ! hey oui encore la manipulation novlangueste.

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  3. Du grand n'importe quoi!... la dictature prend le pas sur la liberté d'expression. C'est de celà dont il faut avoir peur et non du zizi de Paul...LOL

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    1. Au nom de la liberté d'expression... Quelle bêtise... Dans ce cas au nom de la liberté d'expression je peux sortir un livre sur la pédophilie, la zoophilie, le viol... ?

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    2. Interdisons la chanson Bali-Balo ! C'est une odieuse chanson pédophile !! Nan mais soyons sérieux ce livre n'est en aucun cas une apologie de la pédophilie, ni même de la pédopornographie. C'est délirant.

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    3. liberté d'expression n'existe pas dans le viol d'enfants...ma liberté d'expression va-t-elle jusqu'à je prends mon 38 et je te tire une belle dans les couilles

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    4. Anonyme >> Ce qui est délirant c'est de défendre ce livre... Soit vous êtes rempli de naïveté soit vous êtes juste aveugle... Ou alors vous n'avez tout simplement pas lu l'article.

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  4. « Pendez-les Blancs » : le rappeur Nick Conrad appelle à assassiner tous les Blancs de France dans son dernier clip

    https://breizatao.com/2018/09/26/pendez-les-blancs-le-rappeur-nick-conrad-appelle-a-assassiner-tous-les-blancs-de-france-dans-son-dernier-clip-video/

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    1. Il veut faire le buzz, c'est tout, dans un an on en parlera plus, mais fera son planète rap sur skyrock, comme tous les autres nazes dans son genre, rappelez-vous d'orelsan, il avait fait pareil avec une chanson à ses débuts, où il traitait toutes les femme de putes, ça avait fait le JT et regardez aujourd'hui, les médias font sa promos comme si de rien n'était.

      Voila ce qu'est le rap commercial, du buzz, de la connivence avec le système, et de la merde sponsorisé par skyrock, la radio à l'étoile bleue, suivez mon regard.

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    2. S’il avait suivi les cours de français, il aurait su où se place le « r » dans son nom.

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  5. Un prêtre (Raymond Bourgier) disait dans l'une de ses messes, que les temps actuels vont bien plus loin dans le mal que l'époque de Sado et Gomorre, l'époque romaine... Oui à l'époque il y avait déjà les sodomistes, les crimes rituels d'enfant, la pédophilie, la bisexualité, la zoophilie mais à présent il y en plus la tv, les bandes dessinées, les films porno, les magazines et plus grâve encore: les sex bots. Voilà pourquoi c'est un signe de la fin des temps. On ne peut faire pire au niveau des perversions.

    Guy >> tu devrais chercher des données au sujet des sex bots, je sais que les acheteurs peuvent faire un robot sur "mesure" (visage, mensuration...). Je suis presque certain qu'il doit y avoir des bot "monstre" ou même représentant des enfants.

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  6. A noter que ce "livre" est toujours disponible à la FNAC (quelle surprise) et qu'il est même référencé comme "coup de cœur du libraire".
    Cultura et Gibert viennent de gagner et conserver un client.

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  7. Le livre n'est pas enn vente à Cultura ?

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  8. citoyen tranquille28 septembre 2018 à 18:00

    J'ai longuement consulté cette BD dans une librairie de quartier (politiquement bobo extrême-gauche très chic, la librairie) ettttt .... objectivement cette bd est imprégné de pédophilie sur le mode "donner à la perversité l'apparence du bien & de l'innocence".

    Moins hard que la "Vilaine Lulu" de Yves St Laurent mais les descriptions pédophiles y sont explicites .

    Les pédophiles testent sans cesse les limites de la Société en se disant "petit à petit l'oiseau fait son nid". C'est la technique du tour d'écrou. Ne soyons pas dupe.

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    1. Vous avez raison. Même chose avec la conférence Ted. Pour finalement faire accepter les droits sexuels pour tous sans exceptions.

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  9. Il est humble en plus...

    https://www.youtube.com/watch?v=HVDduQdYpJE

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    1. petit dessineux de M en plus qui va s'acoquiner au système, pitoyable.

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  10. Etienne2
    Je ne peux pas lire jusqu'au bout du post...je connais la pédophilie institutionnelle au sein de "l'Education Nationale";
    oui, tout à fait selon les texte de loi, c'est 150000 EUROS d'amende et 10 ans de prison, pour l'ex-principal du collège de St Aignan/Cher,son adjointe, et un jeune prof de sport;toujours en poste avec même mutation et promotion à Argenton/Creuse pour le premier.
    Et ce n'est pas par hasard que ces "gens-là" m'ont mis les "bronzés" au derrière, sur ordre des huiles en local, de surcroit menacer de détruire mon foyer.
    C'est beau la France!
    Le problème de beaucoup de français c'est la lâcheté; la résultante?La zizanie et la guerre civile car les pouvoirs sensés garantir la paix sont, soient compromis, soient lâches par faiblesse et les fruits seront très amers._

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  11. "Sa directrice, Céline Tran, fut connue sous le nom de Katsuni alors qu’elle était actrice de films X. "
    j'en tombe sur le cul... çà c'est un signe. Pour la BD, bien sûr c'est scandaleux, ignoble, dégueulasse, surtout que ce dessinateur que je connais de nom est accepté de dessiner de telles ignominies, qu'il va se faire soigner ce type.
    Ce genre de bd va attirer des tas de pédophiles et autres pervers, çà favorise les pulsions malsaines de ces gens.
    Il y'a un tel laisser aller qu'il y'en aura d'autres des scandales, à ne pas en douter. Et ceux qui trouvent çà normal, j'ai vu au moins un com, va consulter également.

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  12. Scandaleux France culture, dans le cadre des Chemins de la philo, défend la BD sous prétexte de liberté d'expression et en arguant que les enfants ont une sexualité qu'il ne faut pas nier. Sauf que ce que l'on appelle sexualité pour les enfants n'a rien à voir avec celles de adultes.
    https://www.franceculture.fr/emissions/le-journal-de-la-philo/petit-paul-ou-es-tu

    J'ai protesté auprès du médiateur, contre cette apologie de la pédophilie que fait la BD et la chronique France culture. Faites-en de même :
    http://mediateur.radiofrance.fr/

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