Je glisse au passage une information que je viens de découvrir. Il semblerait que la France travaille en collaboration avec le laboratoire P4 de Wuhan qui a été livré en 2017 à la Chine. Non seulement il y a des programmes conjoints entre les laboratoires P4 de Lyon et de Wuhan mais la France s'est engagée à financer cette collaboration à hauteur d'un million d'euros par an pendant 5 ans.
Le gouvernement affirmait dans un communiqué que "ces technologies de laboratoire constituent un atout majeur pour garantir la sécurité des populations tout en développant une capacité nationale de gestion du risque biologique." A la lecture de l'article suivant, vous serez probablement moins emballés par cette brillante idée de coopération franco-chinoise dans le domaine des virus hautement pathogènes.
En plus du probable espionnage chinois qui a eu lieu dans un laboratoire canadien qui travaillait sur le coronavirus, les USA ont récemment annoncé une mise en accusation de plusieurs scientifiques chinois (dont un lieutenant de l'armée) pour divers actes d'espionnage du même type. Il semblerait donc que la Chine dispose d'un vaste réseau d'espionnage industriel infiltré dans plusieurs pays et en particulier ceux disposant de laboratoires P4 alors qu'elle semble dans le même temps avoir son propre agenda de guerre biologique.
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En 2003 et 2005, deux discours secrets qui auraient été prononcés devant des cadres supérieurs du Parti communiste chinois (PCC) par le général Chi Haotian, ministre de la Défense en 1993-2003, ont été diffusés sur l’Internet. Ils étaient intitulés « La guerre nous arrive » et « La guerre n’est pas loin ; elle est la sage-femme qui donnera naissance au siècle de la Chine ». Bien qu’il soit difficile de vérifier l’authenticité de ces discours, les critiques estiment généralement qu’ils reflètent la véritable mentalité de la direction de l’État-Parti chinois et qu’ils ont été, peut-être, délibérément diffusés pour mesurer les réactions et intimider l’Occident.
Le général Chi aurait dressé un plan à long terme de la « renaissance nationale chinoise » en évoquant trois questions vitales qui devraient être prises en compte. La première question était celle du besoin de l’espace vital pour la Chine, car ce pays était très surpeuplé et son environnement écologique se détériorait rapidement. Par conséquent, deuxièmement, le Parti communiste devrait guider le peuple chinois pour qu’il « sorte de son chez-lui ». Par là, le général entendait la conquête de nouveaux territoires où une « deuxième Chine » pourrait être construite par le biais de la « colonisation ». D’où la troisième question vitale : celle « de l’Amérique ».
Chi Haotian aurait résumé la situation aux responsables du Parti : « Cela semble choquant, mais la logique est en fait très simple. » La Chine est « en conflit fondamental avec les intérêts stratégiques occidentaux ». Par conséquent, les États-Unis – le plus puissant des pays occidentaux – ne permettront jamais à la Chine de s’emparer d’autres pays pour construire une « deuxième Chine ». Bref, les États-Unis feraient obstacle à la réalisation des objectifs du régime chinois.
« Est-ce que les États-Unis nous permettraient de sortir de notre chez-nous et acquérir un nouvel espace vital ? Tout d’abord, si les États-Unis tiennent fermement à nous bloquer, il nous sera difficile de faire quoi que ce soit d’important à Taïwan, au Vietnam, en Inde ou même au Japon, [alors] combien d’espace vital supplémentaire pourrions-nous obtenir ? C’est très insignifiant ! Seuls des pays comme les États-Unis, le Canada et l’Australie ont les vastes territoires nécessaires pour répondre à nos besoins de colonisation massive », aurait indiqué le général.
« Nous ne sommes pas aussi stupides pour vouloir périr avec l’Amérique en utilisant des armes nucléaires », aurait-il poursuivi. « Ce n’est qu’en utilisant des armes non destructrices qui peuvent tuer beaucoup de gens que nous pourrions conserver l’Amérique pour nous-mêmes. » La réponse se trouverait dans les armes biologiques : « Bien sûr, nous ne sommes pas restés inactifs, au cours des dernières années nous avons saisi l’occasion de maîtriser des armes de ce type. »
Le général Chi aurait attribué à l’ex-dirigeant chinois Deng Xiaoping le mérite d’avoir placé les armes biologiques devant tous les autres systèmes d’armes de l’arsenal chinois : « Lorsque le camarade Xiaoping était encore parmi nous, le Comité central du Parti a eu la perspicacité de prendre la bonne décision de ne pas développer de groupes de porte-avions et de se concentrer plutôt sur le développement d’armes létales pouvant éliminer massivement la population du pays ennemi. »
Il semble difficile à le croire, mais le général Chi se serait considéré comme un communiste « humanitaire » et affichait, par conséquent, des sentiments personnels mitigés : « Je pense parfois à quel point il est atroce pour la Chine et les États-Unis d’être ennemis… » Après tout, aurait-il ajouté, les États-Unis ont aidé la Chine pendant la Seconde Guerre mondiale. Les Chinois se souvenaient que les États-Unis se sont opposés à l’impérialisme japonais. Mais rien de tout cela n’avait plus d’importance.
« À long terme, les relations entre la Chine et les États-Unis sont des relations de lutte de vie ou de mort… Nous ne devons pas oublier que l’histoire de notre civilisation nous a appris à maintes reprises que deux tigres ne peuvent pas habiter sur la même montagne. »
Selon l’ex-ministre chinois de la Défense, le problème de surpopulation et la dégradation de l’environnement en Chine finiraient par entraîner un effondrement social et une guerre civile. Il aurait estimé que « plus de 800 millions » de Chinois mourraient dans un tel effondrement. Par conséquent, le Parti communiste chinois n’avait pas d’alternative : soit les États-Unis sont « nettoyés » par des attaques biologiques, soit la Chine subit une catastrophe nationale.
« Nous devons nous préparer à deux scénarios. Si nos armes biologiques réussissent à effectuer une attaque-surprise, le peuple chinois aurait des pertes minimales dans la lutte contre les États-Unis. Mais si l’attaque échoue et déclenche une riposte nucléaire de la part des États-Unis, la Chine subirait peut-être une catastrophe dans laquelle plus de la moitié de sa population périrait. C’est pourquoi nous devons être prêts à riposter avec des systèmes de défense aérienne de nos grandes et moyennes villes. »
Dans son discours, le général Chi aurait donné une clé permettant de comprendre l’objectif de la stratégie du développement de la Chine : « Notre développement économique sert entièrement à nous préparer aux besoins de la guerre ! » Il ne s’agit pas d’améliorer la vie des Chinois à court terme ni de construire une société basée sur le libéralisme capitaliste et axée sur la consommation : « Officiellement, nous mettons toujours l’accent sur le développement économique comme notre but principal, cependant, en réalité, c’est la guerre qui est le but principal du développement économique. »
On peut le constater également par rapport à l’énorme intérêt de la Chine dans les recherches biologiques.
Créer des virus à des fins militaires
L’Occident n’a pas encore compris les motifs sous-jacents de la participation active de la Chine dans les recherches des laboratoires de microbiologie des pays occidentaux classées comme P4 (pathogène de classe 4) – les laboratoires où sont étudiés les microbes les plus mortels du monde. On commence à en parler à cause de la nouvelle pandémie de coronavirus qui s’est éclatée à Wuhan, au cœur de la Chine – juste à l’extérieur du principal laboratoire épidémiologique chinois P4, situé également à Wuhan et conçu avec l’aide de la France.
En 2003, peu de temps après que le général Chi aurait prononcé son premier discours, il a quitté son poste de ministre de la Défense. C’était la même année que l’épidémie de SRAS (provoqué également par un coronavirus) a éclaté en Chine. C’était aussi (par coïncidence ?) l’année où Pékin a décidé de construire le laboratoire P4 de haute sécurité à Wuhan. En tenant compte des discours du général Chi, la nouvelle épidémie de coronavirus apparue dans cette ville, est-elle un accident occasionné par la création des virus à des fins militaires dans son laboratoire épidémiologique de haute sécurité ?
Dans ce contexte, on pourrait prendre en compte trois points suivants. Premièrement, selon le Sydney Morning Herald, Tsai Chao-ming, le plus haut responsable de la sécurité de Taïwan, a déclaré en 2008 aux législateurs du pays que « Taïwan disposait de renseignements reliant le virus du SRAS aux recherches effectuées dans des laboratoires chinois ». Compte tenu de l’influence économique de la Chine à Taïwan et de son infiltration des médias en langue chinoise, il n’est pas surprenant que le directeur du Bureau de la sécurité nationale de Taïwan ait été contraint de retirer sa déclaration qui n’avait rien d’une « gaffe » courante. On pourrait aussi se demander si M. Tsai a été obligé de retirer une déclaration reflétant la vérité qu’il ne pouvait pas prouver sans révéler ses sources de renseignement à l’intérieur de la Chine continentale ?
Deuxièmement, le Virology Journal a publié le 28 février 2013 un article de Gulfaraz Khan qui décrivait la découverte, en juin 2012, d’un nouveau coronavirus en Arabie saoudite. Il s’agissait du même virus que celui de Wuhan avec une seule différence : lors de sa découverte, il ne pouvait pas être facilement transmis de l’homme à l’homme. Depuis lors, cependant, ce virus n’est plus le même : la version de Wuhan est appelée 2019-nCoV à la place de NCoV initialement découvert. Ce dernier n’est pas contagieux, alors que celui de Wuhan se répand rapidement à travers la Chine et se propage dans d’autres pays au moment où vous lisez ces mots.
Selon vous, qu’est-ce qui est à l’origine du changement de sa transmissibilité entre 2012 et 2020 ? Mutation aléatoire ou résultat de recherches à des fins militaires ? Si l’épidémie meurtrière actuelle s’était produite dans une autre ville que Wuhan, nous pourrions être enclins à croire à une mutation aléatoire. Cependant, Wuhan est le « Ground zero » des armes biologiques chinoises. Devrions-nous attribuer cela à une coïncidence ?
Troisièmement, la revue GreatGameIndia a publié un article intitulé « Coronavirus Bioweapon – How China Stole Coronavirus From Canada And Weaponized It » (L’arme biologique coronavirus – comment la Chine a volé le coronavirus du Canada et l’a adopté à des fins militaires).
On peut retracer les itinéraires probables du virus NCoV : d’abord découvert en Arabie saoudite, puis étudié au Canada d’où il a été volé par un scientifique chinois et amené à Wuhan. On peut également noter que l’article du GreatGameIndia a fait l’objet d’attaques violentes – tout comme la déclaration du chef des services de renseignement de Taïwan. Quelle que soit la vérité, ces faits ainsi que l’endroit du déclenchement de l’épidémie et l’improbabilité d’une mutation aléatoire du virus devraient être pris en compte.
Il est fort probable que la version 2019-nCoV est une version destinée à des fins militaires du virus NCoV découvert par les médecins saoudiens en 2012.
Une enquête doit être menée sur l’épidémie de Wuhan. Les Chinois doivent assurer à cette affaire une transparence totale. La vérité doit être révélée. Si les responsables chinois sont innocents, ils n’ont rien à cacher. S’ils sont coupables, ils refuseront de coopérer.
La principale préoccupation est de savoir si le reste du monde a le courage de demander une enquête réelle et approfondie. Nous ne devons par craindre de l’exiger de l’État-Parti chinois ni ne devons permettre aux « intérêts économiques » de nous rendre timorés et accepter un jeu malhonnête de démenti général. Nous avons besoin d’une enquête honnête. Et nous en avons besoin maintenant.
J.R. Nyquist est chroniqueur et auteur des livres Origins of the Fourth World War (Les origines de la Quatrième Guerre mondiale), The Fool and His Enemy (Le fou et son ennemi) ainsi que co-auteur du livre The New Tactics of Global War (Les nouvelles tactiques de la guerre mondiale).
Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.
Pourquoi est-il alors si virulent sur les asiatiques ?
RépondreSupprimerPas très logique si le but était de le balancer sur un ennemi comme les Etats-Unis.
Même interrogation.
SupprimerSoit il s'agit d'une fausse manoeuvre : animal qui s'échappe du laboratoire, contamination d'un des chercheurs... soit c'est volontaire, grâce à un complice acheté.
Les Etats-Unis et la Chine sont en guerre commerciale, tout est possible.
Après tout, d'après le narratif, les Chinois se seraient servis dans le stock de coronavirus canadien. Une sorte de retour à l'envoyeur.
Ce virus est définitivement au moins une arme par destination.
je me suis dit la meme chose, surtout que l'auteur semble déja avoir fait sa part dans la propagande anti russe
Supprimer( il est également co auteur du livre "Red Jihad: Moscow's Final Solution for America and Israel" et "Back from the Dead: The Return of the Evil Empire" qui ne sont pas mentionné dans l'article? pardon mais ça pue la propagande sioniste)
Sympa cette vidéo: https://www.youtube.com/watch?v=1vRfi-X4JHw
RépondreSupprimerExcellente vidéo qui en vaut 100 sur le sujet.
SupprimerJean Onche le musclay? Mdr, tout un programme. J'avoue que j'ai bien ri. J'aime bien l'humour trash.
SupprimerBonsoir,
SupprimerOn le connaît bien, il est belge comme nous et est réellement dans le monde de la muscu, sa chaîne traite de la nutrition et de l’entraînement en général mais avec un humour bien belge et n'hésite pas de temps à autre à sortir de sa zone, comme ici, mais toujours avec talant.
Puis même si l'humour trash est bien présent, le mec est loin de raconter des conneries, il maîtrise ses sujets.
Orné
Encore un médecin sur place qui dit que des patients meurent avant même qu'ils ne soient testés. Du coup, ils ne sont pas inclus dans les décompte officiel.
RépondreSupprimerhttps://www.dailymail.co.uk/news/article-7966081/Wuhan-medic-says-coronavirus-deaths-infections-reported.html
Sont-ils capables, ou pas, (comme d'autres, y compris les sombres abrutis qui font des recherches en centre villes) de faire une expérimentation au réel chez eux, non pas à des fins d'extermination, mais pour mieux se préparer, se protéger, là où d'autres ne le seraient pas ?
RépondreSupprimerN'ont-ils pas déjà commencé, à des fins commerciales, à éradiquer certaines cultures ?
https://www.dimsumdaily.hk/russian-scientists-believe-america-created-the-wuhan-coronavirus-to-sabotage-china/
RépondreSupprimerSavoir si c'est une manipulation de ce virus et de sa création par les Chinois ou les Américains, ça serait bien que les scientifiques de la communauté internationale ou au moins quelques nations reconnaissent officiellement cette possibilité au lieu de la classer en Fake news et que seulement quelques scientifiques dans le monde en parle. J'ai lu à plusieurs reprises que n'importe quel chercheur ou scientifique qui avait sous les yeux le génome séquencé de ce virus et qui l'étudie , ne pouvait que admettre cette très forte probabilité. Si c'est le cas la vérité éclatera rapidement et ne fera qu'accroître la méfiance des citoyens de ce monde, déjà très méfiants.
Je ne sais pas ce que vaut cet article mais les si c'est le cas , les Chinois ne pourront jamais prouver que c'est un coup des USA, ils ne pourront avoir que des grosses suspicions, et a mon avis la vengeance sera terrible, et eux seront près à faire face avec les leçons de cette pandémie et malheureusement leur régime totalitaire, qui peut aider davantage qu'une démocratie à mettre les moyens en oeuvre pour contenir une pandémie.
https://www.forbes.com/sites/victoriaforster/2020/02/02/no-coronavirus-was-not-bioengineered-to-put-pieces-of-hiv-in-it/
SupprimerUn article qui dément l'hypothèse humaine concernant les inserts du VIH.....
La probabilité est forte que c'est une manip chinoise hors de contrôle mais pour l'instant pas de preuve. On peut aussi imaginer que les américains qui sont en "guerre" avec la Chine l'ait apporté ici-même pour faire croire à l'origine chinoise. On sait que les laboratoires militaires US rêvent de virus à sélection "raciale" ou ethnique. On se souvient de l'affaire du vol MH370 dont on a toujours pas retrouvé trace et parmi les hypothèses: le vol a été repris sous contrôle USA et "éliminé" car les services secrets chinois avaient eu vent d'une cargaison "spéciale" pour Pékin de la part des américains, en l’occurrence un virus ethnique transporté pour être libéré sur leur territoire.
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