lundi 4 août 2014
Résultats de l’analyse des images satellites publiées par le Service de sécurité d’Ukraine sur Internet le 30 juillet 2014
13:36:00
Je profite de cet article pour placer cette citation d'Obama lors d'une conférence de presse à la maison blanche vendredi dernier: “À moins de déclencher une guerre, il va y avoir des limites à ce que nous pouvons faire si le Président Poutine et la Russie décident d’ignorer ce que devraient être leurs intérêts à long-terme…”. Fawkes
Par La Voix de la Russie | Les spécialistes du ministère de la Défense de Russie ont analysé les matériaux graphiques, publiés le 30 juillet de cette année par le Service de sécurité d’Ukraine (SBU), censés « démentir » l’authenticité des prises de vue de satellites artificiels russes, constatant la présence le 17 juillet de batteries ukrainiennes de missiles Bouk dans la région de la catastrophe du Boeing 777 malaisien, et « attester » des tirs par des Forces armées russes contre le territoire ukrainien.
La première chose qu’on veut dire – pour présenter des accusations graves, et d’autant, tirer des conclusions, il est nécessaire de l’étayer de faits. Il est généralement connu qu’un rattachement exact des images satellites à la surface terrestre dans le système de coordonnées géographiques et le temps astronomique des prises de vue sont des attributs obligatoires de tels documents.
Cela est indispensable pour déterminer la composition exacte du groupe satellitaire, survolant à un moment donné le lieu pris en photo, en comprenant les caractéristiques et les capacités des appareils cosmiques concrets, évoluant sur orbite circumterrestre suivant des trajectoires connues d’avance.
En répondant à cette question, nous pouvons constater sans équivoque que suivant les données du Système de contrôle de l’Espace de Russie, dans la période comprise entre 10h00 et 13h00, heure de Moscou, (9h00 et 12h00, heure d’Ukraine) le 12, le 16, le 17 et le 18 juillet les satellites ukrainiens Sitch-1 et Sitch-2 ne survolaient pas les territoires indiqués. Pendant le temps marqué sur les images au-dessus de la zone de la catastrophe se trouvait le satellite américain de reconnaissance optique et électronique de type KeyHole. De cette façon, la provenance de la base photographique pour le traitement ultérieur au Service de sécurité d’Ukraine (SBU) ne doit susciter des doutes chez personne.
Pour ce qui est des prises de vue, leur analyse détaillée a montré ce qui suit.
Sur les deux premières diapositives les images satellitaires russes et ukrainiennes sont en somme identiques. Mais avec cette notice importante que la prise de vue présentée par le SBU a été faite quelques jours plus tard.
Diapositive n°1
Diapositive n°2
Plus intéressantes pour l’analyse sont les images ukrainiennes sur les diapositives n°3 et n°4.
Diapositive n°3
Le temps de prise de vue marqué ne correspond pas à l’image.
Ainsi, à 11 heures du matin le soleil dans ce lieu se trouve au Sud-est et, par conséquent, les ombres doivent y tomber seulement au Nord-ouest.
Tandis que sur les matériaux présentés par le SBU les ombres tombent on ne sait pas pourquoi en direction du Nord-est. On obtient donc que ces prises de vue ont été faites non seulement à une quelconque autre date, mais aussi dans l’après-midi, et le temps marqué sur les images y a été délibérément falsifié.
Et ceci est un fait absolu, alors que sur les prises de vue, publiées par le ministère de la Défense de Russie le 21 juillet, ces positions correspondent aux coordonnées géographiques et au temps astronomique.
Qui plus est, sur la partie de la bande forestière de protection marquée par le SBU on voit à l’œil nu des déformations, faites par le rédacteur de photo. Notons que sur limage satellitaire russe elles sont absentes.
Remarquons pour compléter que suivant le bulletin météo pour le 17 juillet dans la région au-dessus d’Avdeevka la nébulosité était de 70-80% avec l’altitude de la couche inférieure d’environ 2 500 mètres, ce qui est facilement vérifiable par beaucoup de sources indépendantes et ce qu’on voit très bien sur l’image d’Avdeevka, faite par le satellite artificiel russe.
Remarquez que sur l’image n °4 du SBU le même jour et à la même heure le temps est ensoleillé. Les commentaires sont ici superflus.
Diapositive n°4
Sur la diapositive n°5, la résolution de la photo russe a été délibérément réduite par les « artistes » du Service de sécurité d’Ukraine (SBU), ce qui a rendu flous les contours du relief (champs labourés).
Diapositive n°5
Alors que le ministère russe de la Défense ait rendu public une image de haute résolution de cette même zone (cf. image ci-dessous). Toutes les soi-disant inexactitudes, indiquées par le SBU, sont absentes sur cette image.
L’image de la zone, fournie par le ministère de la Défense de Russie.
La photo ukrainienne sur la diapositive n°7 est également identique à la photo russe, avec une seule différence : elle a été réalisée 5 jours plus tôt (!) que la photo russe. Il n’est pas clair ce que voulait illustrer le SBU avec cette photo.
Diapositive n°7
Analysons maintenant le matériel graphique fourni par le SBU, qui confirme les livraisons prétendues de l’équipement militaire et de l’armement russe sur le territoire de l’Ukraine, ainsi que le transfert des mystérieux groupes de diversion, et le bombardement des communes ukrainiennes.
Sur les 14 images satellites présentées par le SBU, on peut distinguer des véhicules de transport et des traces de leur déplacement sans aucune référence à une zone concrète, une date ou heure. Ainsi, sur la moitié des images (Diapositives n°2 à n°7), on peut voir des routes des champs, qui selon le SBU, passent par le territoire de la Fédération de Russie et d’Ukraine.
Diapositive n°2
Diapositive n°3
Diapositive n°4
Diapositive n°5
Diapositive n°6
Diapositive n°7
En même temps, sur ces photos vous ne trouverez aucune route, qui traverserait la frontière russo-ukrainienne. Quant aux allégations du SBU sur le fait que les traces sur les champs sont ceux des véhicules blindés russes, elles ne tiennent pas la route.
Compte tenu de la qualité des images, cela reste un mystère comment les experts ont pu identifier ces véhicules comme des chars, des blindés ou des camions, et affirmer que ces véhicules appartiennent à la Fédération de Russie, et non pas aux forces armées de l’Ukraine.
Cela concerne également deux autres photos (Diapositives n°4 et n°14), sur lesquelles on voit des traces de l’équipement de la zone avec du matériel de génie.
Diapositive n°4
Diapositive n°14
Une situation similaire se crée avec le soi-disant équipement militaire russe qui se trouverait sur le territoire de l’Ukraine et qui, selon les affirmations du SBU est montré sur les Diapositives n°11 à n°13.
Diapositive n°11
Diapositive n°12
Diapositive n°13
On ne comprend pas à nouveau quels critères utilise le SBU pour affirmer que cet équipement appartient à l’armée russe. Surtout que le territoire non loin des villages de Marinovka, Kojevnia et Grigorievka, où cet équipement a été « découvert », est contrôlé depuis longtemps par les forces de l’ordre ukrainiennes.
En ce qui concerne les « traces » des tirs des lance-roquettes Grad, effectués depuis la zone du village de Grigorievka sur les Diapositives n°8 à n°10, situé sur le territoire de l’Ukraine (!) et contrôlé par les forces de l’ordre ukrainiens, il s’agit d’un nouveau « chef d’œuvre » de la conspirologie ukrainienne, qu’on peut mettre sur le même pied d’égalité avec les accusations précédemment formulées par Kiev de l’implication de la Russie dans l’organisation des émeutes sur le Maïdan de Kiev et la tragédie à Odessa.
Diapositive n°8
Diapositive n°9
Diapositive n°10
Au lieu de présenter à la communauté internationale des données fausses rassemblées à la hâte, la direction du SBU ferait mieux d’organiser un contrôle minutieux des bataillons de mercenaires sous la direction de Kolomoïsky, Liachko, Iaroch et d’autres leaders, armés à titre privé. Ces mercenaires, actuellement actifs dans les régions de Donetsk et de Lougansk, sont en train de pilonner des villages ukrainiens sans un contrôle quelconque de la part du commandement de l’opération antiterroriste.
***
En résumant les résultats de l’analyse présentée ci-dessus, et en se basant sur les donnes de contrôle objectif du système russe de monitoring de l’espace, on peut affirmer sans équivoque que l’Ukraine n’est pas le propriétaire des images, rendues publiques le 30 juillet.
La qualité des images, et l’argumentation des accusations envers la Fédération de Russie qu’utilise le SBU ne tiennent pas la route.
C’est certainement la raison pour laquelle les véritables propriétaires de ces images n’ont pas osé jusqu’à présent publier ces images sous leurs noms, pour ne pas casser le mythe existant sur la toute-puissance des services de renseignement aérospatial ukrainiens.
La première chose qu’on veut dire – pour présenter des accusations graves, et d’autant, tirer des conclusions, il est nécessaire de l’étayer de faits. Il est généralement connu qu’un rattachement exact des images satellites à la surface terrestre dans le système de coordonnées géographiques et le temps astronomique des prises de vue sont des attributs obligatoires de tels documents.
Cela est indispensable pour déterminer la composition exacte du groupe satellitaire, survolant à un moment donné le lieu pris en photo, en comprenant les caractéristiques et les capacités des appareils cosmiques concrets, évoluant sur orbite circumterrestre suivant des trajectoires connues d’avance.
En répondant à cette question, nous pouvons constater sans équivoque que suivant les données du Système de contrôle de l’Espace de Russie, dans la période comprise entre 10h00 et 13h00, heure de Moscou, (9h00 et 12h00, heure d’Ukraine) le 12, le 16, le 17 et le 18 juillet les satellites ukrainiens Sitch-1 et Sitch-2 ne survolaient pas les territoires indiqués. Pendant le temps marqué sur les images au-dessus de la zone de la catastrophe se trouvait le satellite américain de reconnaissance optique et électronique de type KeyHole. De cette façon, la provenance de la base photographique pour le traitement ultérieur au Service de sécurité d’Ukraine (SBU) ne doit susciter des doutes chez personne.
Pour ce qui est des prises de vue, leur analyse détaillée a montré ce qui suit.
Sur les deux premières diapositives les images satellitaires russes et ukrainiennes sont en somme identiques. Mais avec cette notice importante que la prise de vue présentée par le SBU a été faite quelques jours plus tard.
Diapositive n°1
Diapositive n°2
Plus intéressantes pour l’analyse sont les images ukrainiennes sur les diapositives n°3 et n°4.
Diapositive n°3
Le temps de prise de vue marqué ne correspond pas à l’image.
Ainsi, à 11 heures du matin le soleil dans ce lieu se trouve au Sud-est et, par conséquent, les ombres doivent y tomber seulement au Nord-ouest.
Tandis que sur les matériaux présentés par le SBU les ombres tombent on ne sait pas pourquoi en direction du Nord-est. On obtient donc que ces prises de vue ont été faites non seulement à une quelconque autre date, mais aussi dans l’après-midi, et le temps marqué sur les images y a été délibérément falsifié.
Et ceci est un fait absolu, alors que sur les prises de vue, publiées par le ministère de la Défense de Russie le 21 juillet, ces positions correspondent aux coordonnées géographiques et au temps astronomique.
Qui plus est, sur la partie de la bande forestière de protection marquée par le SBU on voit à l’œil nu des déformations, faites par le rédacteur de photo. Notons que sur limage satellitaire russe elles sont absentes.
Remarquons pour compléter que suivant le bulletin météo pour le 17 juillet dans la région au-dessus d’Avdeevka la nébulosité était de 70-80% avec l’altitude de la couche inférieure d’environ 2 500 mètres, ce qui est facilement vérifiable par beaucoup de sources indépendantes et ce qu’on voit très bien sur l’image d’Avdeevka, faite par le satellite artificiel russe.
Remarquez que sur l’image n °4 du SBU le même jour et à la même heure le temps est ensoleillé. Les commentaires sont ici superflus.
Diapositive n°4
Sur la diapositive n°5, la résolution de la photo russe a été délibérément réduite par les « artistes » du Service de sécurité d’Ukraine (SBU), ce qui a rendu flous les contours du relief (champs labourés).
Diapositive n°5
Alors que le ministère russe de la Défense ait rendu public une image de haute résolution de cette même zone (cf. image ci-dessous). Toutes les soi-disant inexactitudes, indiquées par le SBU, sont absentes sur cette image.
L’image de la zone, fournie par le ministère de la Défense de Russie.
La photo ukrainienne sur la diapositive n°7 est également identique à la photo russe, avec une seule différence : elle a été réalisée 5 jours plus tôt (!) que la photo russe. Il n’est pas clair ce que voulait illustrer le SBU avec cette photo.
Diapositive n°7
Analysons maintenant le matériel graphique fourni par le SBU, qui confirme les livraisons prétendues de l’équipement militaire et de l’armement russe sur le territoire de l’Ukraine, ainsi que le transfert des mystérieux groupes de diversion, et le bombardement des communes ukrainiennes.
Sur les 14 images satellites présentées par le SBU, on peut distinguer des véhicules de transport et des traces de leur déplacement sans aucune référence à une zone concrète, une date ou heure. Ainsi, sur la moitié des images (Diapositives n°2 à n°7), on peut voir des routes des champs, qui selon le SBU, passent par le territoire de la Fédération de Russie et d’Ukraine.
Diapositive n°2
Diapositive n°3
Diapositive n°4
Diapositive n°5
Diapositive n°6
Diapositive n°7
En même temps, sur ces photos vous ne trouverez aucune route, qui traverserait la frontière russo-ukrainienne. Quant aux allégations du SBU sur le fait que les traces sur les champs sont ceux des véhicules blindés russes, elles ne tiennent pas la route.
Compte tenu de la qualité des images, cela reste un mystère comment les experts ont pu identifier ces véhicules comme des chars, des blindés ou des camions, et affirmer que ces véhicules appartiennent à la Fédération de Russie, et non pas aux forces armées de l’Ukraine.
Cela concerne également deux autres photos (Diapositives n°4 et n°14), sur lesquelles on voit des traces de l’équipement de la zone avec du matériel de génie.
Diapositive n°4
Diapositive n°14
Une situation similaire se crée avec le soi-disant équipement militaire russe qui se trouverait sur le territoire de l’Ukraine et qui, selon les affirmations du SBU est montré sur les Diapositives n°11 à n°13.
Diapositive n°11
Diapositive n°12
Diapositive n°13
On ne comprend pas à nouveau quels critères utilise le SBU pour affirmer que cet équipement appartient à l’armée russe. Surtout que le territoire non loin des villages de Marinovka, Kojevnia et Grigorievka, où cet équipement a été « découvert », est contrôlé depuis longtemps par les forces de l’ordre ukrainiennes.
En ce qui concerne les « traces » des tirs des lance-roquettes Grad, effectués depuis la zone du village de Grigorievka sur les Diapositives n°8 à n°10, situé sur le territoire de l’Ukraine (!) et contrôlé par les forces de l’ordre ukrainiens, il s’agit d’un nouveau « chef d’œuvre » de la conspirologie ukrainienne, qu’on peut mettre sur le même pied d’égalité avec les accusations précédemment formulées par Kiev de l’implication de la Russie dans l’organisation des émeutes sur le Maïdan de Kiev et la tragédie à Odessa.
Diapositive n°8
Diapositive n°9
Diapositive n°10
Au lieu de présenter à la communauté internationale des données fausses rassemblées à la hâte, la direction du SBU ferait mieux d’organiser un contrôle minutieux des bataillons de mercenaires sous la direction de Kolomoïsky, Liachko, Iaroch et d’autres leaders, armés à titre privé. Ces mercenaires, actuellement actifs dans les régions de Donetsk et de Lougansk, sont en train de pilonner des villages ukrainiens sans un contrôle quelconque de la part du commandement de l’opération antiterroriste.
***
En résumant les résultats de l’analyse présentée ci-dessus, et en se basant sur les donnes de contrôle objectif du système russe de monitoring de l’espace, on peut affirmer sans équivoque que l’Ukraine n’est pas le propriétaire des images, rendues publiques le 30 juillet.
La qualité des images, et l’argumentation des accusations envers la Fédération de Russie qu’utilise le SBU ne tiennent pas la route.
C’est certainement la raison pour laquelle les véritables propriétaires de ces images n’ont pas osé jusqu’à présent publier ces images sous leurs noms, pour ne pas casser le mythe existant sur la toute-puissance des services de renseignement aérospatial ukrainiens.
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