La Saint Valentin, fête des amoureux? On est loin du compte...
Tout comme Noël ou Halloween (en y accolant La Toussaint), voici un exemple de plus d'une fête à l'origine intégralement païenne mais christianisée ultérieurement par l'église romaine.
Comment est-on passé des lupercales et leurs sacrifices sanglants d'animaux associées à des flagellations à la gloire de Pan à la soit disant fête des amoureux?
Des Lupercales A La Saint-Valentin.
Ah, la Saint-Valentin ! Fête commerciale, destinée à vendre du chocolat et des fleurs aux pauvres malheureux qui s'imaginent avoir besoin de ça pour célébrer leur amour ! Oui, je sais : ça sent la célibataire frustrée !!! Mon point de vue changerait peut-être si l'on m'offrait, à moi aussi, du chocolat et/ou des fleurs... Il n'empêche que, de l'avis général, voilà encore une de nos fêtes qui provient directement de l'antiquité romaine. Alors, avec ou sans cœur en chocolat, je ne pouvais pas laisser passer ça.
Notre Saint-Valentin serait en effet issue des Lupercales (Lupercalia), fête annuelle célébrée à Rome entre le 13 et le 15 Février (15 jours avant les calendes de Mars). Donc à l'origine à la fin de l'année, puisque avant l'instauration du calendrier julien, celle-ci débutait le 1er Mars. A Rome, cette période était l'occasion de rituels d'expiation des fautes commises envers les Dieux et de purification (februum - d'où le mot "Février") : on nettoyait les maisons de fond en comble et on aspergeait le sol de sel et de blé.
UNE CÉLÉBRATION AUX ORIGINES CONFUSES.
Les historiens divergent quant à l'identité du Dieu que l'on célébrait lors des Lupercales. La plupart pensent qu'il s'agissait en toute logique du dieu Lupercus, que l'on assimile aussi au dieu Faunus (équivalent du Dieu grec Pan.) Lupercus était le dieu de la fertilité, des bergers, et le protecteur des troupeaux. Mais d'autres avancent qu'il pourrait s'agir de Mars, Junon, Lycaeus, Bacchus ou Februus. Pour ma part, je me rangerai à l'opinion la plus communément admise : puisque ce sont les lupercales, restons-en à Lupercus !
Pan, équivalent grec de Faunus (Mosaïque d'Antioche. © C. Osseman.)
Étymologiquement, le mot se rapporte au latin lupus ("loup"). Traditionnellement, on considérait que les lupercales avaient été instituées par Romulus et Remus, lors de la fondation de Rome (753 avant J.C.), en hommage à la louve dont la légende rapporte qu'elle les aurait recueillis et nourris alors qu'ils étaient encore enfants. En réalité, cette fête était vraisemblablement bien antérieure - peut-être une transposition d'une cérémonie grecque en l'honneur de Pan Lycéen (du Grec Lykaion, "loup"). Il est donc probable que le nom en soit directement dérivé, ou bien qu'il fasse référence à la sauvagerie du loup, animal redouté par les bergers. Tout cela, on le voit, demeure assez confus.
Une des particularités de cette fête tenait à ce que, contrairement aux autres célébrations, elle n'était rattachée à aucun temple. Il faut dire que les Romains eux-mêmes n'étaient pas certains du Dieu qu'ils étaient supposés honorer : tout comme nos historiens, les auteurs latins hésitaient entre Faunus, Lupercus ou Inuus ! Peu importe, car cela n'a jamais empêché de célébrer cette grande fête populaire. Son épicentre était la grotte du Lupercal sur le Palatin où, selon la légende, la fameuse louve avait allaité Romulus et Remus. En passant, la grotte en question aurait été découverte en 2007, au-dessous du palais d'Auguste - bien que certains archéologues demeurent sceptiques, et ne voient dans la caverne mise au jour qu'un nymphée du palais impérial.
"Romulus Remus Et Leur Nourrice." (Jacques-Laurent Agasse.)
LE RITUEL DES LUPERCALES.
Les rites étaient dirigés par les luperques, institués soit par le Roi Evandre, soit par Romulus et Remus. Ils étaient divisés en deux collèges sacerdotaux - les Quinctiliani et Fabiani, d'après les gens Quinctilia et Fabia, vieilles familles patriciennes romaines auxquelles appartenaient leurs membres. En 44 avant J.C., un troisième collège, les Julii, fut créé en l'honneur de Jules César, avec Marc Antoine à sa tête. A l'origine chasse gardée des patriciens, ce furent le plus souvent des chevaliers qui remplirent la fonction à l'époque impériale.
La fête en elle-même comportait trois temps forts : les sacrifices, la course des luperques et un grand banquet.
Tout débutait donc avec le sacrifice, peut-être par le dialis flamen. Je dis "peut-être", car les sources sont contradictoires : bien qu'il soit cité comme officiant, les mêmes textes disent qu'il n'avait pas le droit d'être en contact avec les boucs et les chiens... Allez comprendre ! Bref, on immolait deux boucs et un chien dans la grotte du Lupercal. Deux jeunes luperques, vêtus uniquement d'un pagne en peau de bouc, étaient conduits jusqu'à l'autel, et le prêtre sacrificateur leur marquait le front avec le sang du sacrifice. Le couteau utilisé pour le rituel était essuyé avec de la laine trempée dans du lait, après quoi les jeunes gens étaient obligés de rire.
Le rituel des Lupercales. (Via National Geographic.)
On découpait ensuite des lanières dans la peau des boucs sacrifiés, et les luperques couraient à travers Rome, totalement nus, en riant et en éclusant du vin. Cicéron s'en indigne d'ailleurs à propos de Marc Antoine :
"Vous-mêmes, après les Lupercales, vous n'avez pu croire qu'Antoine fût consul. En effet, le jour où, sous les yeux du peuple romain, nu, dégouttant d'huile, abruti par l'ivresse, il harangua la multitude, et voulut poser le diadème sur la tête de son collègue; ce jour-là, il a renoncé non-seulement au consulat, mais à la liberté." (Cicéron, "Les Philippiques", III - 5.)
Nous reviendrons sur cette histoire de diadème... En attendant, nous ignorons pourquoi les luperques étaient nus, mais Plutarque émet une suggestion dans sa "Vie De Romulus" :
"Caïus Acilius raconte qu’avant la fondation de Rome, Romulus et Remus égarèrent un jour quelques troupeaux : qu’après avoir fait leur prière au dieu Faune, ils se dépouillèrent de leurs habits pour pouvoir courir après ces bêtes sans être incommodés par la chaleur ; et que c’est pour cela que les luperques courent tout nus." (Plutarque, "Vie De Romulus", XXVII.)
Après avoir fait le tour du Mont Palatin, ils parcouraient la ville en fouettant de leurs lanières tous ceux qu'ils rencontraient, et les femmes en particulier. Celles qui désiraient avoir un enfant se pressaient sur leur passage, car le rituel était sensé assurer la fertilité, prévenir la stérilité et soulager les douleurs de l'enfantement.
"On célébrait la fête des Lupercales, qui, selon plusieurs écrivains, fut anciennement une fête de bergers, et a beaucoup de rapport avec la fête des Lyciens en Arcadie. Ce jour-là, beaucoup de jeunes gens des premières maisons de Rome, et même des magistrats, courent nus par la ville, armés de bandes de cuir qui ont tout leur poil, et dont ils frappent, en s'amusant, toutes les personnes qu'ils rencontrent. De nombreuses femmes, même les plus distinguées par leur naissance, vont au-devant d'eux, et tendent la main à leurs coups, comme les enfants dans les écoles ; elles sont persuadées que c'est un moyen sûr pour les femmes grosses d'accoucher heureusement et, pour celles qui sont stériles, d'avoir des enfants." (Plutarque, "Vie De César", LXI.)
Les Lupercales. (Domenico Beccafumi.)
Avant le banquet qui se tenait pour clore les festivités, on organisait une sorte de loterie amoureuse, placée sous les auspices de Junon : les jeunes filles inscrivaient leur nom sur une tablette qu'elles déposaient dans une jarre, et chaque jeune garçon tirait au sort le nom de celle qui l'accompagnerait tout au long du repas.
ÉVOLUTION DES LUPERCALES VERS LA SAINT-VALENTIN.
La dimension sexuelle de la fête des lupercales est flagrante. Outre les luperques entièrement nus, les femmes mariées elles-mêmes se dénudaient partiellement pour être flagellées. Auguste y mit cependant le holà : il exclut du collège des officiants les jeunes hommes imberbes, considérés comme trop séduisants et, pour que la cérémonie devienne un peu plus décente, il fit garder aux luperques les pagnes en peau de bouc. Au cours du IIème siècle après J.C. enfin, les vénérables matrones restaient habillées, et tendaient simplement leurs mains aux fouets.
Dans les premières années du christianisme, l'empereur romain Claude II fut confronté à un problème : plusieurs de ses soldats étaient des hommes mariés, et ils refusaient d'abandonner leur doux foyer pour partir régler leur compte aux barbares. Claude II prit donc des mesures, et il interdit formellement de marier les militaires. Or, un prêtre ne l'entendit pas de cette oreille, et il estima qu'il était légitime que les soldats puissent se marier si cela leur chantait. Partisan du mariage pour tous (en tous cas pour les légionnaires), il célébra donc des mariages chrétiens en secret. Ce qui devait arriver arriva, et le prêtre fut arrêté et emprisonné, avant d'être décapité à la veille des lupercales de 270. Il s'appelait Valentin...
Les lupercales étaient si populaires qu'elles survécurent à l'implantation et au développement du christianisme, bien que les dignitaires chrétiens - on s'en doute ! - n'appréciassent guère cet étalage de nudité, ces flagellations obscènes et ces sacrifices païens. Ceux-ci eurent beau être interdits en 341, cela n'y changea rien : on célébrait toujours les lupercales, et plusieurs Papes s'y cassèrent les dents. Cela dit, les lupercales n'avaient plus rien de commun avec la fête originelle et, en lieu et place des nobles luperques nus, c'était désormais toute la racaille (habillée, elle !) qui en profitait pour mettre la pagaille dans les rues. Ce fut finalement le Pape Gélase (494 - 496) qui tapa du poing sur la table : il rédigea une longue diatribe contre les lupercales et décida de leur interdiction pure et simple. Toutefois, la fête fut célébrée à Constantinople jusqu'au Xème siècle.
Certains auteurs affirment que Gélase remplaça les lupercales par la "Fête de la Purification de la Bienheureuse Vierge Marie", fixée au 15 Février ; d'autres prétendent qu'il y aurait substitué la célébration du martyr de ce Saint Valentin dont nous avons déjà parlé, saint patron des fiancés et des amoureux, le 14 Février. Rien ne permet de privilégier l'une ou l'autre de ces hypothèses. Toutefois, le lien entre les lupercales et la fécondité, la coutume appareillant les convives lors du banquet et surtout le martyr de Saint-Valentin permettent d'envisager un rapprochement entre Lupercales et notre fête des amoureux.
Saint Valentin prêchant en prison.
SYMBOLISME DES LUPERCALES.
Les origines des lupercales semblent être multiples, et il en va de même pour leur signification. Pour commencer, d'où pouvait bien venir cette idée étrange de fouetter les femmes avec des lanières découpées dans la peau d'un bouc ?! Une légende étiologique semble apporter la réponse : après le rapt des Sabines (voir ici), il s'avéra que celles-ci étaient stériles. Ce qui posait un sacré problème, puisque c'était précisément pour assurer leur descendance que les Romains les avaient enlevées ! C'est alors qu'une voix s'éleva dans le bois sacré : "Qu'un bouc pénètre les femmes italiennes !" Consternation des Sabines (du moins, j'imagine !!), mais heureusement pour elles, un devin sut interpréter l'ordre divin et il fit découper dans la peau d'un bouc des lanières dont on fouetta les jeunes femmes - qui vécurent heureuses, et eurent beaucoup d'enfants ! (Source : Encyclopedia Universalis)
Statue Du Dieu Faunus. (Hever Castle - ©Corel Corporation.)
Donc, si la fête des lupercales est une fête de purification, c’est aussi une fête de la fertilité. Le rire des luperques qui succède au sacrifice est en lui-même le symbole de l'affranchissement des contraintes sociales, d'un retour à la sauvagerie de la nature, sensée raviver la fécondité. Ce qui explique que l'on rattache le plus souvent la fête à Lupercus ou Faunus, maîtres des forces naturelles sous leur forme la plus spontanée. Faunus était représenté avec des cornes, la partie inférieure de son corps était celle d'un bouc, et j'ai déjà indiqué que l'on sacrifiait des boucs et des chiens. Les premiers sont des symboles de sexualité et de fécondité, et Plutarque avance plusieurs explications quant au sacrifice des seconds :
"Quant au chien qu’on sacrifie, si cette fête est réellement un jour d’expiation, il est immolé sans doute comme une victime propre à purifier. Les Grecs eux-mêmes se servent de ces animaux pour de semblables sacrifices. Si au contraire c’est un sacrifice de reconnaissance envers la louve qui nourrit et sauva Romulus, ce n’est pas sans raison qu’on immole un chien, l’ennemi naturel des loups ; peut-être aussi veut-on le punir de ce qu’il trouble les luperques dans leurs courses." (Plutarque, "Vie De Romulus", XXVII.)
Ainsi, puisque la flagellation était supposée assurer la fertilité, elle représentait sans doute l'acte de pénétration - une pénétration symbolique, un symbole de fertilité (lanière en peau de bouc) marquant la chair.
EN GUISE DE CONCLUSION.
Si les lupercales étaient un des temps forts des célébrations religieuses dans la Rome antique, elles sont aussi restées dans les mémoires suite à un évènement politique, survenu en 45 avant J.C. : le 15 Février de cette année-là, Antoine qui participait aux Lupercales en profita pour tendre à Jules César une couronne de lauriers, l'invitant ainsi à accepter le titre de Roi. Les huées de la foule forcèrent César à repousser ladite couronne à deux reprises - le peuple romain, décidément, ne voulait pas d'un nouveau Roi.
"César assistait à cette fête, assis dans la tribune sur un siège d'or, et vêtu d'une robe de triomphateur. Antoine, en sa qualité de consul, était un de ceux qui figuraient dans cette course sacrée. Quand il arriva sur la place publique, et que la foule se fut ouverte pour lui donner passage, il s'approcha de César et lui présenta un diadème enlacé d'une branche de laurier. Cette tentative n'excita, qu'un battement de mains faible et sourd, qui avait l'air de venir de gens apostés ; César repoussa la main d'Antoine, et à l'instant tout le peuple applaudit, Antoine lui présenta une seconde fois le diadème, et très peu de personnes battirent des mains ; César le repoussa encore, et la place retentit d'applaudissements universels. Convaincu, par cette double épreuve, des dispositions du peuple, il se lève, et donne ordre qu'on porte ce diadème au Capitole. Quelques jours après, on vit ses statues couronnées d'un bandeau royal : deux tribuns du peuple, Flavius et Marcellus, allèrent sur les lieux, et arrachèrent ces diadèmes. " (Plutarque, "Vie De César", LXI.)
Antoine Offrant La Couronne A César.
On ne saura jamais si l'initiative venait d'Antoine lui-même, ou si toute cette mise en scène avait été orchestrée par César - et l'on peut se demander comment il aurait réagi si le public n'avait pas manifesté sa désapprobation. Cet évènement fut cependant l'un des éléments qui conduisirent aux Ides de Mars. Tu parles d'une Saint-Valentin ! Comme quoi, on a raison de dire que les histoires d'amour finissent mal - en général...
Le premier homme du nom de Valentin.(Rcg)
6 commentaires:
Charte des commentaires:
La possibilité de commenter de façon anonyme a été désactivée suite à de trop nombreux abus (insultes, menaces de mort). Il faut désormais obligatoirement utiliser un compte Gmail pour commenter.
Pas de spams, d'insultes, de provocations stériles, de prosélytisme religieux à outrance, d'appels à la haine, à la violence ou d'apologie du terrorisme. Les commentaires ne sont pas un défouloir et ce blog n'est ni un tchat ni un forum. Les commentaires sont là pour apporter quelque chose au débat. Les trolls ne sont pas les bienvenus. Restez courtois dans vos échanges et, dans un souci de compréhension, écrivez uniquement en français, merci.
Les liens externes sont acceptés s'ils sont en rapport avec le sujet de départ. Les HS sont exceptionnellement tolérés s'ils relèvent d'un sujet connexe ou pertinent vis à vis du thème de l'article. Merci de vérifier vos sources avant de publier un lien vers un article tiers (pas de sites parodiques et de fausses nouvelles s'il vous plait).
La modération est parfois activée, parfois non selon les disponibilités de l'administrateur. Dans tous les cas, inutile de reposter vos commentaires, ils seront validés en temps voulu.
A chacun d'y mettre du sien afin de permettre d'échanger et de débattre dans le respect de chacun.
Rechercher sur le blog
Inscription à la newsletter
Les plus consultés du mois
Médias citoyens
-
-
-
-
Une pause dans le bocalIl y a 21 heures
-
-
-
Peur et ProvidenceIl y a 9 mois
-
Archives du blog
-
▼
2014
(903)
-
▼
février
(79)
- PV & prise de risque : ce gendarme détient la palm...
- En garde à vue pendant huit heures pour des affich...
- Propagande: France 2 nous dit que les chemtrails s...
- Interrogé sur la « maison jaune », Bernard Kouchne...
- Les même tracts ont été retrouvés lors des pseudos...
- Ukraine : Arseni Iatseniouk, membre de la Commissi...
- Gluten, comment le blé moderne nous intoxique - Ju...
- Le CDC américain a dissimulé les données attestant...
- France 2 fait l'apologie du transhumanisme au JT
- Pensez-vous encore que la population mondiale est ...
- La Russie envoie des troupes en Crimée
- Le traité transatlantique en 10 minutes
- Une des plus fortes éruptions solaires depuis les ...
- Kissinger : "Poutine pense que l’Ukraine est une r...
- Sortie de cinéma animée par quelques supporters de...
- Projet PHEME: l'Europe finance un projet informati...
- A l'origine du salut nazi
- Katy Perry et le cheval noir de l'apocalypse
- Alison Gold, une lady gaga de 11 ans, provoque le ...
- Une investigation du British Medical Journal expos...
- Les Média Mensonges & La Propagande de Guerre
- Ukraine: version internet Vs Canal + (MAJ 19h30)
- Un agent de l'international police agency arrêté e...
- D'après Press TV, un ancien officier israélien mèn...
- Opération Fluor: l'ingrédient clé de notre asservi...
- Ukraine: Laurent LOUIS flingue BHL, Attali, l'Euro...
- Pierre Jovanovic sur la vague de "suicides" dans l...
- Vidéo des gardes civiles de Ceuta qui tirent sur l...
- Expérience: un blanc tente de voler une voiture pe...
- Flashback: La pierre lunaire offerte aux Pays-Bas ...
- Marion Sigaut nous parle de l'imposteur Alfred Kin...
- 900 scientifiques ont signé la pétition de disside...
- Meyer Habib complètement embourbé dans sa "loi ant...
- Venezuela: coup de projecteur sur les zones d´ombr...
- Un député décroche le drapeau de l’UE du Parlement...
- Un loup disséqué devant les enfants
- Le Sens Caché du Film "Coraline"
- Google inaugure la plus grande centrale solaire au...
- L'Armée américaine a construit une fausse ville po...
- Une « révolution colorée » s’abat sur la Bosnie
- Le diabolique secret des OVNIS
- Le Crédit Agricole abandonne l’intimidation pour l...
- Europe: des animaux clonés dans nos assiettes depu...
- Le général russe Ivashov : Je présume que le minis...
- Restez débranchés ! - Épisode 4 - Les Médias
- La promotion de la théorie du genre a été ratifiée...
- Témoignage du Dr Didier Tarte, médecin du travail,...
- Propagande de la BBC: "Pourquoi je veux une puce i...
- Le livre noir de l’AFP: une agence de presse orien...
- Quand Belkacem touche le fond...elle creuse!
- La Saint Valentin, fête des amoureux? On est loin ...
- "La stratégie secrète de Google apparaît…"
- Kristen Meghan, ex-militaire spécialisée en bio en...
- Education sexuelle à l’école : les photos scandale...
- L'enregistrement qui expose les manigances américa...
- Flashback: scandaleuse clémence des juges pour le ...
- Bilderberg 1955 : Fuite de documents avec un plan ...
- Le document confidentiel qui accable Najat Belkacem
- Youtube censure la vidéo sur la théorie du genre p...
- Haarp, géo ingenierie & CFR dans un vieux dessin a...
- Un père en prison pour avoir refusé que leur fille...
- Propagande - « Trop de bio rend malade »
- Canal+ interview Raphaël Berland, du Cercle des Vo...
- La France, numéro un mondial des demandes de suppr...
- La valse des hypocrites: un député demande la démi...
- Vidéo: Théorie du genre, le nouvel ordre sexuel fr...
- Aux origines de la théorie du genre
- Un auditeur RTL passe son entretien d'embauche de ...
- D'après arrêts sur image: "internet ça n'existe pas"
- Journaliste, cette profession qui a trahi la France
- Média et propagande: Sur ce qu’il se passe en Thaï...
- Laura Slimani (Jeunes socialistes) : "Oui, le genr...
- Un principal de collège considère le retrait d'un ...
- Un CRS admet les ordres immoraux et totalitaristes...
- Manif pour tous: la police a manipulé les clichés ...
- Communauté juive, « théorie du genre » et désinfor...
- À la veille des Jeux olympiques, la tension monte ...
- Théorie du genre – Habiller les garçons en filles,...
- Le pouvoir face à la contestation : ses 5 stratégi...
-
▼
février
(79)
Intéressant de faire le parallèle entre la représentation du diable au tarot:
RépondreSupprimerhttp://www.darkestnightmovie.com/images/BaphometInTarot.jpg
Baphomet:
http://blog.templarhistory.com/wp-content/uploads/baphomet.gif
Et pan:
http://www.cuttingedge.org/Pan_Horned_God.jpg
Autres noms, même origine.
http://www.bibleetnombres.online.fr/saint_valentin.htm
RépondreSupprimerPour ceux qui ont encore des doutes que la Bible soit d'inspiration Divine.
RépondreSupprimerhttp://www.bibleetnombres.online.fr/panin.htm
J'ai aimé lire le passage avec le chiffre 7 , intéressant et intrigant , merci pour le lien maniek07
SupprimerDe rien, ça fait toujours plaisir de partager la vérité avec les autres.
SupprimerJe suis ce site depuis un bon moment déjà, et je trouve que la personne qui le tient à une très grande connaissance et nous fait découvrir et partage énormément de choses intéressantes, troublantes et intrigantes. J'appelle ce genre de personne "un sonneur d'alarme", en plus d'être un homme de Dieu.
http://www.bibleetnombres.online.fr/Lance_Armstrong.htm
RépondreSupprimerSurtout le passage avec Shakespeare qui est assez hallucinant.