dimanche 25 août 2019

Le pervers narcissique Yann Moix se fait passer pour une victime alors qu'il battait son propre frère pendant son sommeil


Une rentrée littéraire ne se porte jamais mieux qu'avec une bonne polémique. À peine amorcée, celle d'automne affiche carton plein, et la famille s'y trouve au premier plan, déchiquetée sous nos yeux. Sous la mention « roman », inscrite sur la couverture, Yann Moix, prix Renaudot en 2013 pour « Naissance », réalisateur de « Podium » en 2004 et, de 2015 à 2018, figure de l'émission « On n'est pas couché » sur France 2, publie « Orléans », dans lequel il décrit les sévices que lui auraient fait endurer ses parents et particulièrement son père José.
Ce dernier s'est exprimé à deux reprises, reconnaissant les plus grandes qualités d'écriture à ce texte, concédant de sa part une éducation « stricte » mais niant les faits de violence que lui attribue son fils aîné. C'est maintenant au petit frère de l'écrivain, Alexandre, de quatre ans son cadet, également écrivain, notamment pour la jeunesse, et documentariste pour Arte, de répondre ou plutôt de rendre coup pour coup dans ce règlement de compte familial.
Nous l'avions contacté pour une interview, avant de lui proposer finalement d'écrire une lettre ouverte à son frère. « Ça fait 40 ans que j'attendais ça » nous confiait-il encore vendredi. Résultat, c'est une autre vérité qui surgit sous sa plume. Pourquoi lui donner la parole ? Parce que Yann Moix, omniprésent dans les médias, de « Sept à Huit » sur TF1 dimanche dernier à « On n'est pas couché » sur France 2 comme invité samedi prochain, a dit clairement que son enfance martyre n'était en rien un roman. Mais selon Alexandre, le cadet, le martyr, c'était lui. Et le bourreau, le grand frère bien plus que le père. Voici ses mots.

« Mon frère, ce bourreau », par Alexandre Moix

Je n'ai pas de frère.
Je suis le « mec qui habitait en même temps que Yann chez ses parents ». « Un médiocre ». « Une entité génétique similaire qui se balade quelque part sur Terre ». « Un raté ». Dernièrement, un « néo-nazi » ! Le sérail m'informe régulièrement des fulgurances moixiennes de mon frère à mon sujet…
« Ton frère te voue une haine infinie », m'a récemment confié un de ses plus vieux amis. Je l'ai toujours su au fond, mais sa confirmation est une gifle. Cinglante. Ma naissance, 4 ans après la sienne, aura donc été son chaos. La fin de son monde. Je serais venu sur Terre uniquement pour achever son règne. J'aurais, paraît-il, enfanté son malheur. Ma naissance n'aura été qu'un putsch.
Devenu adulte, j'ai longtemps déploré son absence mystérieuse et inexpliquée ; son silence, brutal, long, obscur. J'ai d'abord essayé de les comprendre, de les disséquer, d'en chercher les fondements. De guerre lasse. Je suis devenu un spectateur occasionnel, abasourdi de ses outrances, de ses mauvaises humeurs médiatiques, de ses prises de positions fielleuses, de sa harangue belliqueuse. Le soi-disant sniper est en fait un serial killer qui guette sa proie et la dépèce. Jusqu'à la prochaine.Quand, au lendemain de ses inégales interventions, on me posait la question de notre parenté, un malaise profond m'envahissait. Voilà qu'on m'associait à cet être distribuant de la haine sur les plateaux de télévision et partout où il posait le pied.
Exister avec ce nom si encombrant forçait alors le respect. Ce nom - son précieux - qu'il protégeait avec hargne, était l'objet récurrent de ses menaces téléphoniques nocturnes : « Je vais t'envoyer des mecs chez toi qui te feront faire passer l'envie d'utiliser mon nom, pt'it con ! Il n'y a qu'un Moix sur Terre ! Et il n'y aura qu'un Moix dans la littérature ! Il n'y aura qu'un Moix dans le cinéma ! Moix, c'est MOI ! », éructait-il, avant de raccrocher, me laissant hagard pour le restant de la nuit. Moix, c'était lui. Moi, je n'étais que moi. Misérable et médiocre. Raté, il l'avait décrété. Tel serait mon avenir. Partout, j'avais désormais la sensation de voler mon nom, d'usurper son identité.
Dans sa vie, mon frère n'a que deux obsessions : obtenir le Prix Goncourt et m'annihiler. Me nier, m'éliminer, me rayer de la carte. Par tous les moyens. Physiquement ou moralement.
Il y a quelques années, je tombais par hasard sur une émission de radio. À la question : avez-vous des frères et sœurs, Yann répondait aussitôt : « Non. Enfin si… Enfin, c'est tout comme… Il y avait à la maison un collabo qui me caftait à la Kommandantur ! ». Si j'étais son collabo, il était mon tortionnaire.
J'ai subi 20 ans durant des sévices et des humiliations d'une rare violence de sa part. Ceux-là mêmes qu'il décrit dans son roman, en les prêtant à nos parents. J'aurais rêvé d'un grand frère protecteur. Mais Yann était un grand frère destructeur. Chaque phrase qu'il m'adressait me sonnait comme des uppercuts. Il s'exerçait déjà sur moi à tester ses aphorismes de haine. Les mêmes qu'il assène dans ses arènes médiatiques. J'en retrouve parfois certains.
En matière de sévices, Yann faisait preuve d'une imagination débordante. Je rêvais d'un frère au cœur d'artichaut, il était mon Orange mécanique.
Tentative de défenestration du premier étage et de noyade dans la cuvette des toilettes quand j'avais 2 ans, passages à tabac récurrents dès que nos parents s'absentaient, destruction systématique de mes nouveaux jouets, jeux, maquettes, matériel de sport, souillage et appropriation de mes livres…
Je ne compte plus les matins où, pris d'une colère terrible, aussi soudaine qu'incontrôlable, il envoyait valser, sans autre raison que ma seule présence, la table du petit-déjeuner à l'autre bout de la cuisine.
Je me souviens comme si c'était hier de ce jour, où, m'attrapant violemment la main, il me la coinça de toutes ses forces entre les persiennes métalliques de notre chambre et les referma sur mes phalanges. La douleur fut si intense que j'en tombais dans les pommes. Le lendemain, j'avais perdu tous les ongles. J'avais 10 ans.
Et cette fois, où, adolescents tous les deux, il me pourchassa, pour ne pas avoir voulu lui obéir (car il me fallait être à ses ordres) dans toute la maison avec un énorme couteau de cuisine en hurlant - prêt à me tuer - qu'il allait me « saigner comme un goret ».
Cette fois aussi, où il m'enferma à clé et me laissa prisonnier dans le grenier exigu de l'immeuble de notre grand-mère durant une journée entière alors que je n'avais que 7 ans.
Et puis toutes ces nuits d'effroi, où, à pas feutrés, il se glissait jusqu'à mon lit pour m'étrangler ou m'asséner des coups alors que je dormais déjà. Ses poings pleuvaient sur ma couette comme des giboulées. Mes parents ne se réveillaient pas, comme il l'écrit dans son livre, à cause de ses cauchemars incessants, mais en raison de mes cris de douleur ou de terreur.
Quant aux humiliations morales et verbales, elles étaient mon lot quotidien. En public, en privé. La plupart du temps savamment calculées, orchestrées à dessein (l'improvisation n'étant pas son fort), elles faisaient mouche à chaque fois et me laissaient KO. Je le revois me glissant insidieusement, deux heures avant l'épreuve écrite du bac français : « Tu ne l'auras jamais ! Tu es mauvais. T'es nul. T'es un médiocre… ! ».
Et, des années plus tard, alors qu'il avait déjà publié plusieurs romans et qu'il avait appris que de mon côté, sans l'aide de personne, je tentais également ma chance, il me réveillait encore la nuit, haineux, pour me hurler : « Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour que JAMAIS, JAMAIS, tu ne sois publié ! JAMAIS ! ». La campagne de déstabilisation dura plusieurs mois. Ces menaces furent d'ailleurs suivies d'effet, puisqu'il empêcha purement et simplement la parution de mon premier roman « Second Rôle » chez un grand éditeur. L'éditeur, navré, m'en fit lui-même la confidence. J'apprends aujourd'hui, car tout finit par se savoir, que mon frère se serait vanté d'avoir également tout fait pour me nuire dans le milieu du cinéma…
Malgré tout cela, je lui pardonnais quand même. Naïveté d'un cadet qui lève des yeux d'admiration sur son grand frère ou syndrome de Stockholm ? Il y a quelques mois encore, je me suis surpris à un élan de tendresse fraternelle. Je le voyais comme un Petit Prince malheureux sur sa planète, un Petit Prince abîmé par les corrections qu'il écopait de mon père, mais qui, pourtant, faisaient suite aux sévices, eux bien réels, qu'il m'infligeait. Tiraillé entre le supplice qu'il me faisait subir et ses pleurs lorsqu'il se faisait corriger, je me sentais coupable.
Aujourd'hui, je ne peux plus le plaindre, le couvrir ni me taire. Il sacrifie la réalité sur l'autel de ses ambitions littéraires. C'en est trop.
Face à l'ampleur des immondices qu'il déverse dans son roman et dans les interviews qu'il donne, j'avais préféré imaginer un instant que mon frère avait pu y croire lui-même, qu'il s'était laissé abuser par une psychothérapie déviante, de celles qui font s'approprier des faux souvenirs, de celles qui font dénoncer des crimes qui n'ont pas été commis. De celles qui prônent la libération de la parole, quelle qu'elle soit, même fantasmée. Or j'ai appris que Yann se vantait en privé d'avoir tout exagéré, à l'excès, à dessein.
Combien aurais-je préféré que Yann relevât de la psychiatrie plutôt que d'une volonté calculée, affirmée, assumée, de nuire à toute une famille qu'il ne connaît plus, qu'il ne connaît pas.
Se dressant comme le porte-flambeau de la cause des enfants malheureux, il pose, s'affiche, professe, mais n'écoute pas la souffrance des autres dont il se moque éperdument. Yann vit dans un autre monde : son nombril.
Tout ce qui n'est pas lui, issu de lui, autour de lui, à propos de lui est jeté à la curée et condamné sans sursis par son tribunal, sa colère et sa hargne.
Petit Prince déchu. Machiavel cynique et névrosé prêt à tout. On pardonne la folie. Mais pas le révisionnisme ni le mensonge outrancier. Pas plus que l'accaparation du monopole de la souffrance infantile quand il s'agit de l'utiliser à des fins purement marketing et commerciales pour vendre coûte que coûte. Sous prétexte de réaliser une Œuvre, faire passer ses parents pour des bourreaux en leur attribuant la paternité de sévices imaginaires ou de ceux dont il était lui-même l'auteur à l'encontre du frère - judicieusement oublié du roman - confine à la perversité la plus sourde. C'est une monstruosité littéraire.
Il invente et s'en lave les mains. Les véritables victimes de maltraitance sont bernées. Elles lui ont donné leur confiance, lui ont livré leur plus douloureux secret, ont versé leurs larmes à ses pieds, l'ont nommé chef de file de la lutte contre la violence. Imposture. Trahison d'un bourreau travesti qui ose se faire le porte-voix des victimes. Car l'enfance dont il dit être le nouveau défenseur lui est totalement étrangère. La seule enfance qu'il connaisse, qu'il considère, qu'il chérisse, c'est la sienne.
De mes quatre enfants, il n'en connaît aucun. Je leur apprends le sens de la fraternité, de la famille, loin de ses névroses, et je me félicite de vivre à bonne distance de ses abjections.

Mes enfants, tous les enfants, méritent la vérité.
Source: Le Parisien

15 commentaires:

  1. Lutte fratricide ; en quelques traits de plume, belle plume au demeurant, il se venge et tue symboliquement son frère, alias son bourreau et met fin à sa situation de victime car la coupe est pleine. Il y a des relations toxiques qui méritent d'être coupées, y compris des relations familiales perverses ou alors une vie de psychothérapie est nécessaire pour cicatriser les blessures. Rien d'étonnant au regard de la perception que j'avais déjà de son frangin tourmenté toujours agressif, et à jouer les stars sur les plateaux, mal aimé; aucune envie de le lire. Touché-coulé, y compris probablement ses ventes de livres sur amazon.

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  2. John

    J'ai toujours pensé que ce type était un psychopathe. Il en a la tête, le comportement et le discours. Il mène une guerre d'égo constante, c'est genre "moi contre le reste du monde", le mec imbuvable par excellence.

    Ce passage résume bien le personnage: " Il n'y a qu'un Moix sur Terre ! Et il n'y aura qu'un Moix dans la littérature ! Il n'y aura qu'un Moix dans le cinéma ! Moix, c'est MOI." ça m'étonne qu'il n'ait pas fait carrière dans la politique. C'est le genre de profil qui fait fureur dans les hautes sphères. Prêt à écraser tout le monde pour être au sommet. Maintenant que je connais son passé, il me fait d'autant plus gerber.

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  3. Je n'ai jamais supporté la malveillance de Yann Moix. Désormais, c'est l'individu entier que j'exècre. Alexandre Moix est le plus talentueux, le plus doué de cette fratrie : la famille aimante et l'équilibre qu'il a su construire, le prouvent.

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  4. Il faut vraiment être pourri jusqu'à la moelle, pour mentir sur sa famille

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  5. Je ne crois pas qu'un enfant naisse psychopathe, Yann Moix a certainement du subir des abus (de la part de ses parents ou d'autres personnes) pour les reproduire ensuite sur son frère. Le fait d'avoir été victime n'est en rien une justification pour devenir à son tour bourreau, je pense qu'on a toujours le choix de ce que l'on fait de sa souffrance, mais cela l'explique en partie.

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    1. Idiotie.
      Certaines personnes naissent bonnes, d'autre avec le mal en eux.
      La psychopathie est une maladie mentale.
      Combien de gens ont été victimes sans jamais devenir bourreau une seule seconde?
      C'est une théorie vicieuse pour justifier les pires vices en leur trouvant une excuse dans leur passé, dans leur jeunesse. L'évolution logique du "c'est la faute à la société", mais jamais au salopard responsable du pire.
      Certains des pires tueurs en série ont eu une enfance heureuse où le seul élément négatif, c'était eux.

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    2. Apprends à lire ! Je ne dis pas qu'avoir été victime justifie de devenir bourreau, au contraire, on a toujours le choix. Expliquer (en partie) ce n'est pas justifier.
      Toutes les victimes ne deviennent pas bourreau, heureusement, mais tous les bourreaux ont été des victimes dans leur enfance. Je persiste et signe : il n'y a pas de tueurs né ou de pédocriminel né, ils le deviennent. Le mythe du tueurs en série avec une enfance heureuse est un mythe.
      Les professionnels de la santé le constate tous les jours :
      https://www.dailymotion.com/video/xpd75e
      https://mondesfrancophones.com/espaces/psyches/la-violence-initiale/

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    3. De l’origine traumatique de la pathologie mentale.

      Longtemps on a cru avec Freud que les névroses traumatiques (comme celles qui résultaient de guerres ou de catastrophes naturelles) faisaient figure d’exception, l’immense majorité de la pathologie mentale étant causée par une sorte de perversité innée de l’être humain qui obligeait ce dernier à refouler ses pulsions naturelles. De ce refoulement naissaient les « retours du refoulé », retours intermittents qui se traduisaient par des impulsions ou des compulsions plus ou moins violentes et imprévisibles.

      On sait aujourd’hui, grâce à de nombreux travaux scientifiques réalisés à travers le monde, et en particulier aux USA, que les expériences traumatiques précoces (early life experiences) vécues au cours de l’enfance constituent la cause principale de la dysrégulation du système psychique qui est à l’origine de l’ensemble des manifestations psychiatriques et psychopathologiques.
      Suite :
      https://mondesfrancophones.com/espaces/psyches/de-lorigine-traumatique-de-la-pathologie-mentale/

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    4. Je ne connais pas cet homme (Yann Moix) mais en tout cas il ne dégage pas grand chose de bon et quand je lis les coms à son sujet ça se profile... Son frère en tout cas me fait de la peine et on sent qu'il n'est pas dans un esprit de vengeance malsaine mais de rétablissement de la justice et aussi d'ouvrir les vannes parce que le "frère" a franchit la limite une fois de plus.
      Je pense que la cause dans ce cas précis c'est simplement la jalousie qui fait des ravages même à cet âge là. A 5 ans oui on peut être super cruel (l'histoire de la tentative de défenestration ou de noyade dans la cuvette à 6 ans...)
      Des petits qui démembrent des insectes pour le fun et planter des aiguilles dans le corps vivant des papillons sous couvert de collection je l'ai vu chez un cousin et sa famille est très douce ( trop ptet)
      Après je pense que l'humain est mauvais mais tout est relatif. Par contre je ne pense pas que tous les fous ou serial killers ont subit des trucs de malade pour arriver à ce qu'ils sont. Malheureusement parfois c'est totalement gratos

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  6. Tyr, en plein dans le mille (jeu de mots)

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    1. Au royaume des aveugles les borgnes sont rois. Tyr dans tes fesses.

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  7. Je l'ai vu sur TF1 (7 à 8) et son témoignage n'est pas du tout crédible. Il dit que ces parents lui auraient servi sa merde dans son assiette en présence d'invités et que personne n'a rien dit. C'est n'importe quoi !! Ce mec est totalement taré de plus il reprends les éléments de langage sur l'holocauste en parlant de sa situation ! Mdr

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  8. Yann Moix est l'incarnation même du pervers narcissique, qui commence par faire souffrir ses proches, frères et sœurs, puis conjoint(e)s, -heureusement il nous a fait savoir qu'il ne recherchait que des jeunes femmes asiatiques (pour le sexe)- et élimine tout ce qui fait ombre ou obstacle à son aura médiatique, ceux qui le contrarient, ce sont des mégalos et mythomanse etc. Par contre, sans vouloir lui trouver d'excuse, je ne le supporte pas et cela n'enlève rien à leur nocivité,il est reconnu que ce sont des personnes ayant souffert dans leur enfance, d'un parent, souvent la mère, demandant trop à son enfant ou au contraire le maltraitant. Ce n'est peut-être pas son cas, mais il y a sans doute des exceptions. Le problème est qu'il doit le savoir et finalement, il en joue pour se faire plaindre comme lors de l'interview sur sept à huit dont je n'ai vu que la fin : à la question "pensez-vous que vous êtes ainsi à cause de ce que vous a fait vivre votre père" "sans doute"... Son frère a enfin crevé l'abcès car sur certaines pages FB ou autres, beaucoup se demandaient qui disait vrai du père ou du fils. Rejeter la faute sur l'autre est aussi un trait caractéristique des PN.

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  9. la meilleure chose à faire avec ce genre de personnage, est de ne plus parler de lui, c'est sa plus grande peur, l'oublie et la mort.

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  10. Les amitiés révisionnistes et antisémites de Yann Moix. Soral avait tout balancé en 2014, les médias en parlent 5 ans après:

    https://www.youtube.com/watch?v=KfhCI5v-xZc

    On se demande si BHL est au courant.

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